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80 000 euros d'amende pour CNews : quand la libre expression froisse une minorité

Lors d’un débat sur le projet de loi immigration et d’une séquence sur le Rassemblement national, deux invités ont osé dire que "l’immigration tue". Cette simple déclaration a suffi pour déclencher l'indignation de l'ARCOM, qui a immédiatement condamné cette expression.

Le compte rendu de visionnage de l’émission La Matinale Week-End, diffusée le 10 décembre 2023, révèle un nouvel épisode de la dérive woke qui gangrène notre société. Lors d’un débat sur le projet de loi immigration et d’une séquence sur le Rassemblement national, deux invités ont osé dire que "l’immigration tue", sans que l'animateur ou les autres invités ne se manifestent. Cette simple déclaration a suffi pour déclencher l'indignation de l'instance de régulation, qui a immédiatement condamné cette expression.

La réaction extrême de l'ARCOM

Selon eux, affirmer que "l’immigration tue" reviendrait à stigmatiser tous les immigrés comme un danger mortel, incitant ainsi à la haine raciale, nationale ou ethnique et encourageant des comportements discriminatoires. Cette réaction extrême montre à quel point la culture woke, avec son obsession de surveiller et de censurer toute parole jugée déviante, impose un carcan étouffant sur la liberté d'expression.

L'absurdité de la culture woke

L'analyse critique de cette situation met en lumière l'absurdité et la dangerosité des idéologies woke. Sous couvert de protéger les minorités et de promouvoir une société inclusive, ces idéologues prônent une vigilance excessive et une régulation draconienne des discours publics. En réalité, cette approche répressive mène à une censure systématique, étouffant tout débat et toute réflexion critique.

Le wokisme comme arme de contrôle social

Le wokisme est devenue une arme de contrôle social, utilisée pour faire taire ceux qui osent exprimer des opinions divergentes. En prétendant lutter contre l'incitation à la haine, ces gardiens autoproclamés de la moralité imposent leur propre vision du monde, réduisant au silence toute voix dissonante. Il est impératif de reconnaître que cette dictature de la bien-pensance ne fait qu'appauvrir le débat public et miner les fondements mêmes de la démocratie.

La véritable question

La véritable question est de savoir jusqu'où nous sommes prêts à aller pour satisfaire cette minorité bruyante et intolérante. Accepterons-nous de sacrifier nos libertés fondamentales sur l'autel de l'ultra-sensibilité et de la régulation woke, ou aurons-nous le courage de défendre la libre expression contre cette tyrannie insidieuse ?

Source : https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/cnews-ecope-dune-amende-cumulee-de-80-000-euros-pour-manquements-a-ses-obligations-10-07-2024-H5D2SP6DYVEG3OXHNYWCKFJD3A.php

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