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Allemagne : Toni Kroos dévoile l'échec du wokisme, sécurité en déclin et propagande migratoire

La semaine dernière, Toni Kroos, ancienne star du football allemand, a osé dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Dans une interview podcast, il a abordé le sujet tabou de la migration de masse. Selon lui, l'Allemagne reste "un grand pays", mais n'est plus la même qu'il y a dix ans.

La semaine dernière, Toni Kroos, ancienne star du football allemand, a osé dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Dans une interview podcast, il a abordé le sujet tabou de la migration de masse. Selon lui, l'Allemagne reste "un grand pays", mais n'est plus la même qu'il y a dix ans. La sécurité publique s'est dégradée, et il craint pour la sécurité de sa fille la nuit. "Le contrôle de certaines questions nous a tout simplement échappé", a-t-il déclaré dans le podcast Lanz & Precht.

L'indifférence des médias : silence complice ou peur de la vérité?

Étonnamment, les médias allemands, toujours prompts à s'indigner, ont choisi de passer sous silence les déclarations de Kroos ou de les rapporter sans commentaire. Pourtant, lorsque Kylian Mbappé, capitaine de l'équipe de France, a critiqué Marine Le Pen, les médias allemands ont consacré plusieurs jours à son appel à ne pas soutenir le Rassemblement National. Pourquoi cette différence de traitement ? Parce que Kroos a osé toucher à la sacro-sainte politique migratoire, sujet intouchable dans l'Allemagne d'aujourd'hui.

La peur de la révolte populaire

Critiquer la politique d'immigration libérale d'Angela Merkel était autrefois un tabou associé à l'extrême droite. Aujourd'hui, même les partis traditionnels sont contraints de répondre aux préoccupations du public sur la migration de masse. Ceux qui refusent de le faire, comme les Verts ou le Parti de Gauche, subissent des défaites électorales cinglantes. La réaction à Kroos montre combien l'élite est terrifiée par la montée du populisme et du bon sens populaire.

L'hypocrisie de la DFB : Quand le football devient un outil politique

Même l'Association Allemande de Football (DFB), qui s'était engagée dans des campagnes politiquement correctes, a choisi de ne pas réagir aux propos de Kroos. Cette même association qui illuminait le stade de Munich aux couleurs de l'arc-en-ciel pour un match contre la Hongrie en 2021 reste maintenant étrangement silencieuse. Pourquoi ? Parce qu'elle a appris de son fiasco lors de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, où ses protestations ridicules contre les interdictions de brassards LGBT 'OneLove' ont tourné à la farce mondiale.

La révolte contre le wokisme dans le football

Avec l'arrivée de Julian Nagelsmann comme nouvel entraîneur, la DFB a promis de "sortir le football allemand de son marasme et de redonner espoir au pays". Cette promesse s'accompagne d'un retour aux couleurs traditionnelles noir-rouge-or de leur tenue, abandonnant les brassards de vertu 'OneLove'. Rudi Völler, figure emblématique du football allemand, a même critiqué l'activisme woke, dénonçant les déformations de la langue allemande pour s'adapter à l'idéologie de genre.

La résistance à la propagande woke

Malgré les plaintes dans les médias sur l'exclusion des "fans queer" de l'Euro et les attaques contre les fans de football de la classe ouvrière, une résistance s'organise. Lorsque la chaîne publique ARD a osé demander aux fans s'ils souhaitaient voir plus de joueurs blancs dans l'équipe allemande, elle a été immédiatement critiquée, même par Nagelsmann, qui a qualifié le sondage de "raciste".

Les commentaires de Kroos révèlent une vérité partagée par de nombreux Allemands : la migration incontrôlée et la mauvaise intégration sont des préoccupations majeures. Critiquer l'immigration n'est plus un tabou, et l'opposition à la politique identitaire est désormais un sentiment commun. Espérons que le football et d'autres domaines puissent bientôt se débarrasser de cette pensée woke qui les gangrène.

Source : https://www.spiked-online.com/2024/07/13/has-germany-finally-kicked-woke-out-of-football/

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