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Attaque au couteau : les médias occultent le racisme anti-blanc

Parmi toutes les attaques au couteau qui endeuillent régulièrement la France, celle-ci avait particulièrement marqué les esprits. Il n’était pas encore 8 heures ce samedi 3 février dernier quand un homme, muni d’une lame et d’un marteau, s’en était pris à des voyageurs de la Gare de Lyon.

Parmi toutes les attaques au couteau qui endeuillent régulièrement la France, celle-ci avait particulièrement marqué les esprits. Il n’était pas encore 8 heures ce samedi 3 février dernier quand un homme, muni d’une lame et d’un marteau, s’en était pris à des voyageurs de la Gare de Lyon. Trois personnes avaient été blessées, dont une grièvement. L’assaillant avait finalement été maîtrisé par un agent de la sécurité SNCF et placé en garde à vue.

La haine de la France chevillée au corps

Immédiatement après l’attaque, plusieurs vidéos avaient refait surface sur les réseaux sociaux, dévoilant les motivations de l'assaillant malien. « Je n’aime pas la France, je déteste tous les Français, » affirmait-il notamment dans une séquence qu’il avait lui-même tournée et postée sur TikTok. « Les Français sont des menteurs, des voleurs, des manipulateurs, des criminels, des violeurs... » Dans d'autres vidéos, il récitait face caméra la prose décoloniale en vogue dans les sphères indigénistes et sur certains campus universitaires : « Les Français m’ont privé de mon droit de vivre, ce sont les Français qui m’ont ôté ma dignité. Ce sont les Français qui ont volé, [...] ce sont les Français qui ont pris en otage mes grands-parents pour l’esclavage. Ce sont les Français qui ont forcé mes grands-parents à faire les travaux forcés pour pouvoir régler leurs comptes, leur économie. »

Les tentatives d’occultation médiatique

Très rapidement, les forces médiatiques d’occultation se sont mises en branle afin de cacher la nature raciste de cet acte que l’on pouvait légitimement qualifier de tentative de « francocide ». On nous assura que le suspect souffrait en réalité de « troubles psychiatriques », que son état mental était « incompatible » avec toute mesure de contrainte, que la piste terroriste devait être écartée. Un grand quotidien qualifia les enregistrements violemment anti-français du Malien de « vidéos troublantes ». L’audiovisuel public s’efforça de masquer la réalité à ses usagers, mettant largement en avant l’état mental du criminel, tandis que son contenu salafiste et ses véritables motivations furent balayés sous le tapis.

La confirmation de la nature raciste

Mais six mois plus tard, la visée raciste de l’attentat vient à nouveau d’être confirmée. Le dénommé Sagou K. s’est en effet confié sur ses motivations lors d’un interrogatoire devant le magistrat datant du 12 juin dernier. Sa cible y est clairement désignée : les « vrais Français ». « Les Français, ce sont les blancs, » dit-il. « Un Français noir pour moi, ce n’est pas un Français. » Assumant pleinement son attaque, l’homme regrette cependant de ne pas avoir pu mourir en martyr et craint d’avoir été incompris. "Mon ambition n’a pas été atteinte. Non seulement je suis en prison, mais je ne suis pas sûr que le message que je voulais faire passer ait été entendu par l’État français…" Certains ont pourtant parfaitement saisi la nature raciste de son geste : le Malien a été mis en examen pour « tentative d’assassinat en raison de l’ethnie, la nation, la race ou la religion ». De quoi renvoyer à leurs chères études tous ceux qui affirment que « le racisme anti-blanc, ça n’existe pas ».

Source : https://www.bvoltaire.fr/attentat-a-la-gare-de-lyon-racisme-anti-blanc-avere/

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