Mis a jour le 27 juillet 2024 :
La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris a frôlé le ridicule en présentant un spectacle qui a laissé perplexe et indigné de nombreux spectateurs et internautes. De la présence d’Aya Nakamura, cette chanteuse franco-malienne qui fait grincer des dents, aux performeurs queers, tout y était pour choquer et diviser.
Aya Nakamura : une insulte à la culture Française
Aya Nakamura, affublée d’une robe à plumes dorées, a osé se produire aux côtés de la Garde républicaine. L’image des gardes républicains se déhanchant sur « For me Formidable » de Charles Aznavour, avec la chanteuse souvent accusée de malmener la langue française, était une véritable atteinte à la culture nationale, selon Julien Odoul, porte-parole du RN. Bruno Le Maire, dans un élan de complaisance woke, a quant à lui applaudi la performance sur les réseaux sociaux, illustrant à quel point certains politiciens sont déconnectés de la réalité.
Une soirée d’incohérence artistique
Dans une tentative grotesque de fusion des genres, le groupe de metal Gojira a partagé la scène avec la chanteuse lyrique Marina Viotti. Bien que certains aient trouvé la performance hypnotisante, beaucoup y ont vu un spectacle absurde, témoignant d’une volonté désespérée de plaire à tout le monde et à personne en particulier.
Propagande woke à son paroxysme
Le summum du ridicule a été atteint avec la mise en avant des drag queens, des scènes LGBT+ et des mannequins transgenres. Marion Maréchal, eurodéputée d’extrême droite, a qualifié la célébration de « propagande woke grossière », et elle n’avait pas tort. Julien Aubert a déploré la surreprésentation de messages politiques au détriment des valeurs sportives, soulignant à quel point cette cérémonie était plus une déclaration idéologique qu’un hommage aux athlètes.
Un tableau pathétique d’une France déchirée
Cette cérémonie, marquée par un agenda politique et sociétal outrageusement biaisé, a exposé une France en pleine crise identitaire. Elle a révélé les profondes fractures internes entre ceux qui veulent préserver les valeurs traditionnelles et ceux qui, aveuglés par une modernité dévoyée, imposent leurs vues à coup de spectacles grotesques et de moraline.
Le déclin culturel en marche
En conclusion, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris n’était rien d’autre qu’une parade de délires progressistes et de provocations wokes, au mépris des traditions et des valeurs sportives. Il est temps de se demander où tout cela va nous mener et de se lever contre cette vague de conformisme idéologique qui menace de submerger notre culture et notre société.
Article original, publié le 18 juillet :
À seulement huit jours du lancement des Jeux Olympiques de Paris 2024, la cérémonie d’ouverture orchestrée par Patrick Boucheron révèle une vision qui s’éloigne scandaleusement des traditions nationales françaises. Adieu les symboles iconiques et le folklore régional, place à la déconstruction selon les mots justes de la sénatrice Valérie Boyer. Boucheron, défenseur des idéologies de « métissage planétaire », nous prépare une cérémonie où la France historique est balayée au profit d’une farce multiculturelle.
Dans une série d’entretiens avec Le Monde, Patrick Boucheron, accompagné de Thomas Jolly, Leïla Slimani, Damien Gabriac et Fanny Herrero, annonce fièrement que cette cérémonie sera tout sauf une glorification de l'histoire nationale française. Oubliez la majestueuse célébration de l’histoire millénaire de la Chine lors des Jeux de Pékin en 2008. Ici, il s’agit de « déjouer les stéréotypes nationaux », selon les mots de Boucheron. Les concepteurs visent à créer une cérémonie qui est l’antithèse de l’esprit du Puy du Fou, qualifiant cet univers de « conception étriquée » de l’Histoire nationale. Boucheron, fidèle à lui-même, critique le Puy du Fou pour sa « vision sélective du passé national ».
Réactions et polémiques
Les annonces n'ont pas manqué de susciter l'indignation parmi les conservateurs français. Julien Aubert, ex-député, a déploré cette direction artistique, y voyant une marginalisation flagrante de la culture et de l'héritage français au profit d’une « vitrine de la pensée radicale ». Valérie Boyer, quant à elle, dénonce le « wokisme d’atmosphère » et questionne la pertinence de choisir Paris pour une telle démonstration si ce n'est pas pour faire honneur à la France.
En évoquant les préparatifs, il semble même que la réalisation des tableaux prévus pour la cérémonie pourrait être perturbée par une grève des danseurs. Voilà où nous mène cette obsession de la diversité forcée : au chaos et à l’absurde.
La cérémonie d'ouverture de Paris 2024 promet donc d'être une vitrine grotesque du wokisme, rejetant les éléments traditionnels et héroïques de l’Histoire de France pour une mascarade idéologique. Une honte nationale en perspective, où la France devra supporter de voir son héritage piétiné devant des millions de téléspectateurs.
Source : https://www.bvoltaire.fr/linverse-du-puy-du-fou-revelations-sur-la-ceremonie-douverture-des-jo/