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Des cyclistes masculins transgenres remportent les trois premières places d'une course féminine à Washington

C'est la première fois que des hommes raflent les médailles d'or, d'argent et de bronze dans une compétition soi-disant féminine, transformant le Marymoor Grand Prix en une démonstration absurde des conséquences de la politique identitaire.

Dans une farce grotesque de l'égalitarisme débridé, trois hommes transgenres ont occupé les trois premières places d'une course cycliste féminine la semaine dernière à Washington. C'est la première fois que des hommes raflent les médailles d'or, d'argent et de bronze dans une compétition soi-disant féminine, transformant le Marymoor Grand Prix en une démonstration absurde des conséquences de la politique identitaire.

Le festival de l'incohérence : quand les règles favorisent l'injustice

Le Jerry Baker Memorial Velodrome, lieu de l'événement, se targue d'une politique de « tolérance zéro envers l'intimidation », mais cette politique se révèle être une couverture hypocrite pour protéger des décisions ridicules basées sur l’identité de genre. Cette protection permet aux hommes de concourir contre des femmes, sans aucune considération pour l'équité sportive. Résultat : un massacre prévisible où des équipes mixtes ont balayé la concurrence féminine pure lors de la course Madison, réduisant en miettes toute notion de compétition juste.

Des gagnants controversés

Jenna Lingwood, Jordan Lothrop et Eva Lin, tous biologiquement masculins, ont pris d'assaut le podium. Lingwood, anciennement James, est passé du championnat masculin à la domination des femmes, tout comme Lothrop et Lin, qui ont utilisé leur avantage biologique pour écraser leurs adversaires féminines. Lothrop, par exemple, qui courait encore avec des hommes en 2023, s’est arrogé la première place avec une coéquipière féminine. Et que dire de Lin, ex-Henry Lin, qui a passé de l'équipe masculine de l'Université d'État de San Jose à une victoire facile contre des femmes ?

Le wokisme en pleine action : l'indignation justifiée des spectateurs

Les spectateurs n'ont pas tardé à dénoncer cette absurdité. Une militante pour les droits des femmes, sur X, a sarcastiquement demandé pourquoi les équipes mixtes avaient surpassé les équipes 100% féminines. Bien que la réponse soit évidente pour tout observateur honnête, la question souligne la farce tragique que devient le sport féminin sous l'égide des politiques wokes.

En Angleterre, l'Union Cycliste Internationale (UCI) a pris des mesures pour interdire aux athlètes transgenres ayant vécu la puberté masculine de participer à des compétitions féminines, reconnaissant l'inefficacité des restrictions hormonales pour égaliser les chances. De même, British Cycling a introduit une catégorie « ouverte » pour permettre à tous de concourir sans compromettre l'intégrité des catégories féminines.

Cependant, USA Cycling reste lamentablement à la traîne, refusant d'adopter ces politiques sensées et laissant les athlètes féminines à la merci des compétiteurs "transgenres", qui sont des hommes. Une telle inaction continue de nuire aux femmes dans le sport, trahissant l'essence même de la compétition équitable.

Le déclin de l'éthique sportive

L'incident du Marymoor Grand Prix est une illustration frappante de l'incohérence et de l'injustice générées par les politiques wokes dans le sport. La tolérance et l'inclusion ne doivent pas être des prétextes pour bafouer les principes d'équité et de méritocratie qui sous-tendent les compétitions sportives. Tant que ces absurdités continueront, le sport féminin restera sous la menace constante d'une parodie de justice, où l'idéologie prime sur l'intégrité et l'équité.

Source : https://reduxx.info/teams-with-trans-identified-male-cyclists-win-top-three-spots-at-womens-bike-race-in-washington/

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