Joe Biden fait face à des critiques virulentes de la part des groupes LGBTQ. Leur indignation ? La Maison Blanche a osé exprimer son opposition à la chirurgie d'affirmation de genre pour les jeunes. Ces activistes trouvent scandaleux que le gouvernement ne veuille pas autoriser des interventions chirurgicales irréversibles sur des adolescents. Les limites d'âge initiales, établies par des professionnels comme Dr. Rachel Levine, cherchaient à réduire les âges minimums pour les traitements hormonaux à 14 ans et les chirurgies à 15 et 17 ans. Imaginez cela.
Des déclarations incohérentes
Kelley Robinson, président de Human Rights Campaign, et d'autres militants affirment que les décisions médicales devraient être laissées aux familles, médecins et patients. C'est une ligne souvent répétée mais qui ignore délibérément les implications éthiques et médicales de permettre à des adolescents de subir des chirurgies irréversibles. Ces militants prétendent que les soins d'affirmation de genre sont basés sur des décennies de recherche clinique, pourtant ces "recherches" sont souvent biaisées et ne tiennent pas compte des nombreux témoignages de détransition.
L’hypocrisie des soins "nécessaires"
Les militants affirment que les jeunes transgenres et leurs parents méritent d'obtenir les soins médicaux nécessaires. Mais depuis quand des interventions chirurgicales invasives et des traitements hormonaux pour des adolescents en quête d'identité sont-ils devenus des soins "nécessaires" ? L’administration Biden est critiquée pour avoir cédé à une campagne politiquement motivée, mais en réalité, elle essaie simplement de prendre une position raisonnable face à une idéologie délirante.
Le chantage émotionnel des activistes
Les critiques les plus acerbes viennent des organisations qui n'ont que faire des conséquences à long terme pour les jeunes. Advocates for Youth, par exemple, qualifie la déclaration de l'administration de déviation confuse. La directrice de la santé et des droits LGBTQ chez Advocates for Youth, déclare qu'il est exaspérant et décourageant que l'administration choisisse d'ignorer les besoins des jeunes transgenres. On dirait qu'ils veulent absolument que chaque jeune transgenre subisse ces traitements, peu importe les risques et les conséquences.
La désinformation et la politique
Le Dr. Rachel Levine souligne la nécessité de politiques renforçant les soins d'affirmation de genre pour les jeunes, prétendant que ces soins préviennent le suicide. Cependant, cette rhétorique ignore la complexité de la santé mentale et les nombreux facteurs qui contribuent au bien-être des jeunes transgenres. L'avocat Américain Rodrigo Heng-Lehtinen accuse l'administration de mettre la politique avant la science. En vérité, c'est le lobby transgenre qui tente d'imposer une politique fondée sur une idéologie plutôt que sur des preuves solides.
La réalité contre l'idéologie
L’administration Biden tente de naviguer entre les pressions des militants wokes et la réalité des soins médicaux pour les jeunes. Les réactions outrées des groupes LGBTQ montrent à quel point cette idéologie a pris racine, même lorsqu'elle défie le bon sens. Il est temps de réévaluer ces concepts wokes et de revenir à des politiques basées sur des preuves et la prudence, plutôt que de céder aux caprices des activistes.
Source : https://gaycitynews.com/white-house-draws-criticism-lgbtq-groups-gender-affirming-care/
