Dans le royaume absurde du wokisme médical, les souffrances des individus comme Prisha Mosley sont reléguées au second plan. À 26 ans, cette jeune femme est devenue l’incarnation vivante des horreurs que peuvent provoquer les transitions de genre irréfléchies et imposées trop tôt. Après avoir plongé dans les abîmes de la transition de genre à l’adolescence, Mosley se retrouve maintenant piégée dans un corps marqué par des décisions médicales discutables.
Des interventions à l'aveugle
En quête de sa véritable identité, Mosley a commencé à recevoir des doses massives de testostérone dès l'âge de 17 ans, suivies d'une mastectomie à 18 ans. Des interventions drastiques qui ont laissé son corps dévasté. La voici aujourd'hui, détransitionnée, mère par césarienne, après avoir miraculeusement réussi à concevoir un enfant malgré les ravages hormonaux qu'elle a subis.
Les conséquences désastreuses de la transition
Mosley décrit la grossesse comme un calvaire. Son corps, modifié par des années de testostérone, a développé des complications sévères : atrophie de l'utérus, de la vessie et du vagin, déséquilibres hormonaux ayant entraîné un bébé trop grand pour un accouchement naturel. "Je me sens comme un monstre", confie-t-elle, une douleur immense la rongeant quotidiennement.
La détransition : un chemin de croix ignoré
La détransition, une réalité amèrement ignorée par la médecine woke, laisse des individus comme Mosley sans véritable soutien. Les médecins, qui autrefois l'encourageaient aveuglément dans sa transition, sont aujourd'hui incapables de lui offrir des solutions adaptées. La jeune femme se retrouve à poursuivre en justice huit de ses praticiens, les accusant de négligence et d'avoir transformé sa vie en cauchemar permanent.
Une enfance brisée par l'idéologie de genre
Mosley, victime d'une société qui préfère ignorer les blessures profondes au profit de solutions superficielles, a été entraînée dans cette spirale dès son plus jeune âge. Entre anorexie, anxiété, troubles de la personnalité et une agression sexuelle à 15 ans, son mal-être a été exacerbé par une idéologie de genre qui ne reconnaît pas les véritables souffrances psychologiques.
Aujourd'hui mère, Mosley découvre l'horreur de ne plus pouvoir allaiter son enfant naturellement, ses seins ayant été enlevés. "Je le mets sur ma poitrine et je ne le sens pas", dit-elle. Accueillant également la fille de son compagnon, elle se bat pour offrir une stabilité à ses enfants malgré la douleur et les séquelles de ses choix passés.
Un appel au réveil
Le témoignage de Mosley est un cri d'alarme contre la folie d'une médecine woke qui joue avec les vies sous couvert d'inclusivité. Il est temps de se réveiller et de reconnaître les ravages causés par ces idéologies destructrices. La vie de Mosley doit servir d'exemple pour empêcher d'autres jeunes de subir les mêmes horreurs, et pour rappeler que la véritable compassion passe par l'écoute et le soin des blessures profondes, et non par des interventions superficielles et irréfléchies.
Source : https://nypost.com/2024/07/12/lifestyle/detransitioner-describes-agony-of-pregnancy-after-being-male/