Dans un nouvel épisode de l'hystérie collective sur les droits des femmes et des personnes LGBT, des symboles du wokisme ont été vandalisés à Dieppe (Seine-Maritime). Ces incidents surviennent alors que les tensions autour de la question du wokisme et des droits des minorités continuent de diviser les opinions. Mais, honnêtement, qui peut s'étonner de cette réaction face à une idéologie qui cherche à imposer ses valeurs à tout prix ?
L'hypocrisie des symboles attaqués
Le 8 juillet 2024, un banc aux couleurs de l'arc-en-ciel, symbole sacré de la communauté LGBT, a été repeint en noir. Oh, le scandale ! Ce banc, installé pendant le mois des fiertés, est devenu une cible. Émilie, membre de l'association Phoenix Queer, exprime sa déception et sa tristesse. Mais peut-être devrait-elle se demander pourquoi ce banc a suscité une telle réaction ? La nécessité de repeindre encore et encore ce banc montre une forme de résilience certes, mais aussi une incapacité à accepter que tout le monde ne partage pas cette vision arc-en-ciel du monde.
Les autres victimes de l'intolérance ?
Outre ce banc, une boîte à livres a été jetée dans une mare. Une autre boite dédiée aux femmes victimes de violences a également été dégradée. Le maire de Dieppe, Nicolas Langlois, a condamné ces actes avec une fermeté exemplaire, réaffirmant l'engagement de la ville à défendre la dignité de chacun. Vraiment ? N'est-il pas plutôt en train de se plier aux diktats de la bien-pensance ?
Réactions et conséquences
Une plainte contre X a été déposée par la ville de Dieppe. Les associations de défense des droits LGBT, prêtes à tout pour maintenir leur domination symbolique, soutiennent cette plainte. Les bancs seront repeints et réinstallés « aussi rapidement que possible ». Mais que démontre cette réaction ? Un refus catégorique d'accepter que certains puissent s'opposer à cette idéologie imposée.
Ces actes de vandalisme s'inscrivent dans un rejet croissant des idéologies woke. En repeignant les bancs et en dégradant d'autres biens, les vandales envoient un message clair : le rejet de la tyrannie de l'égalité forcée et de la reconnaissance imposée des droits des minorités. La persistance de ces actes montre une résistance face à l'inclusion et à la diversité imposées, révélant un climat d'hostilité. L'engagement de la ville et des associations à réinstaller les bancs et les symboles montre leur détermination, mais aussi leur déconnexion de la réalité sociale.
Cependant, ces incidents exposent aussi les limites et les défis constants auxquels font face les mouvements de défense des droits des minorités. Peut-être est-il temps de repenser l'approche et d'accepter que la diversité d'opinions est essentielle, même si cela signifie admettre que tout le monde ne souscrit pas à l'idéologie woke.
Source : https://actu.fr/normandie/dieppe_76217/deux-bancs-en-hommage-aux-droits-des-femmes-et-des-personnes-lgbt-degrades-a-dieppe_61329013.html