Le conseil de prud'hommes d'Angers vient de marquer un point de plus pour la folie woke en infligeant une sanction à un restaurant franchisé du Maine-et-Loire pour « harcèlement moral caractérisé » et « discrimination liée à l'identité de genre » à l'encontre d'un employé transgenre. Une décision qui s'inscrit parfaitement dans cette ère où les plaintes basées sur les identités de genre prennent une importance démesurée.
Une pantomime juridique
Syntia D., 21 ans, employé depuis septembre 2022, a été embauché en tant qu'homme sous un prénom masculin. En pleine transition de genre, il a décidé de se présenter au travail en vêtements féminins, un choix qui, au départ, aurait été accueilli avec bienveillance. Mais la réalité s'est vite imposée : remarques et pressions, principalement de la part de ses supérieurs, n'ont pas tardé à surgir. Une convocation à un entretien fin janvier 2023 a confirmé le malaise ressenti par Syntia, où on lui a ordonné de cesser de se maquiller et où il a été continuellement appelée par son prénom masculin.
Le théâtre des absurdités
Les responsables du restaurant ont même interdit l'utilisation de son nouveau prénom féminin au sein de l'établissement, ordonnant à deux collègues qui l'avaient adopté de cesser immédiatement. Le tout dans un climat où les règles de l'entreprise semblent secondaires face à l'exigence de conformité aux caprices identitaires.
Applaudissements woke
Charlotte Duval, secrétaire générale adjointe du syndicat des services du Maine-et-Loire CFDT, n'a pas tardé à applaudir ce verdict « très positif ». Elle souligne que la reconnaissance de la situation de victime par la résiliation du contrat pourrait encourager d'autres individus dans des situations similaires à s'exprimer. Mais est-ce réellement un progrès, ou simplement une nouvelle démonstration de la manière dont les concepts woke peuvent être utilisés pour manipuler et contrôler le discours en milieu de travail ?
Cette décision des prud'hommes d'Angers illustre une fois de plus l'absurdité et l'emprise croissante des concepts woke dans notre société. En punissant sévèrement un restaurant pour des questions d'identité de genre, on ignore les réalités pratiques et les défis quotidiens des employeurs, tout en accordant une importance disproportionnée aux plaintes basées sur des identités subjectives. Cette farce juridique ne fait que renforcer l'idée que, dans notre monde actuel, le bon sens est de plus en plus sacrifié sur l'autel de l'idéologie woke.
Source : https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2024/06/24/un-mcdonald-s-condamne-pour-discrimination-de-genre-envers-une-femme-trans