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Dolly Parton accusée de "racisme, sexisme et homophobie" pour un innocent livre pour enfants

Son crime impardonnable ? Avoir recommandé un livre pour enfants, "Llama Llama Red Pajama", dans le cadre de son programme de bibliothèque gratuite pour enfants, qui a pour noble objectif de promouvoir la littératie.

Bienvenue dans l'absurdité sans fin de la culture woke. La légendaire chanteuse country Dolly Parton, connue non seulement pour sa musique mais aussi pour sa philanthropie inlassable, se retrouve maintenant dans le collimateur des idéologues radicaux. Son crime impardonnable ? Avoir recommandé un livre pour enfants, "Llama Llama Red Pajama", dans le cadre de son programme de bibliothèque gratuite pour enfants, qui a pour noble objectif de promouvoir la littératie.

Une analyse universitaire ridicule

C'est là qu'intervient Jennifer K. Stone, une universitaire ultra-woke de l'Université de Caroline du Nord, qui a décidé de disséquer les choix littéraires de Parton avec un zèle quasi inquisitorial. Dans sa thèse de doctorat pompeusement intitulée "Lire le pouvoir avec et à travers la bibliothèque de l'imagination de Dolly Parton : une analyse critique de contenu", Stone accuse le livre et, par extension, Parton, de diffuser des "valeurs occidentales blanches" imprégnées de "biais racistes, sexistes, homophobes, classistes et validistes." Oui, vous avez bien lu. Un livre pour enfants sur un bébé lama qui pleure sans sa maman serait un outil d'oppression systémique.

Des accusations surréalistes

Stone va jusqu'à affirmer que les livres choisis par Parton sont dépourvus de personnages avec des handicaps, de couples LGBTQ+ et d'identités de genre non normatives. Elle critique également la valorisation de l'individualisme, du travail et de la condition physique. En gros, elle reproche à Parton de ne pas transformer chaque histoire en un manifeste de diversité forcée et de victimisation perpétuelle. C'est l'apothéose de la pensée woke, où même un livre pour enfants doit devenir un champ de bataille idéologique.

Pour couronner le tout, Matt Fleming du Orange County Register a partagé son expérience après avoir lu l'histoire à sa fille d'un an. Il se dit stupéfait d'apprendre qu'il soutenait le "complexe du sauveur blanc".

Une réaction déconnectée de la réalité

Malgré ces accusations délirantes, de nombreux parents continuent de soutenir l'initiative de Parton. Ils voient dans ce programme une simple et louable tentative de promouvoir la littératie chez les jeunes, pas un complot pour perpétuer une quelconque forme d'oppression. Mais pour les radicaux comme Stone, rien n'est innocent. Chaque livre, chaque histoire, doit être minutieusement décortiquée pour y trouver des traces de patriarcat, de colonialisme ou de discrimination.

Fin de partie pour le bon sens ?

Il est temps de se demander jusqu'où ira cette folie woke. Chaque aspect de la vie quotidienne, y compris la littérature pour enfants, doit-il être transformé en un théâtre de guerre culturelle ? Pendant ce temps, les véritables problèmes de la société sont relégués au second plan, noyés dans une mer de critiques infondées et de revendications absurdes.

Les fans de Dolly Parton et de son programme restent heureusement nombreux et déterminés. Ils continueront à partager ces histoires simples et joyeuses avec leurs enfants, refusant de céder aux pressions d'une minorité bruyante qui voit des fantômes de discrimination partout. La résistance se poursuit, car tout le monde n'a pas encore perdu la tête dans ce monde de plus en plus absurde.

Source : https://www.dailymail.co.uk/news/article-13605773/Dolly-Partons-good-deed-needy-children-sees-branded-racist-homophobic-sexist-woke-academic.html

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