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Enoch Burke : l'injustice de l'idéologie de genre et la tyrannie de la bien-pensance

Enoch Burke, un enseignant irlandais, a passé 400 jours derrière les barreaux pour un crime abominable : refuser d'utiliser des pronoms transgenres.

Enoch Burke, un enseignant irlandais, a passé 400 jours derrière les barreaux pour un crime abominable : refuser d'utiliser des pronoms transgenres. Oui, vous avez bien lu. Dans une ère où la logique et la raison sont des concepts en voie d'extinction, Burke s'est vu imposer une sanction draconienne pour avoir osé défier la nouvelle religion du wokisme.

La prison pour des pronoms

Le juge Mark Sanfey de la Haute Cour de Dublin a finalement ordonné la libération de Burke, mais pas sans conditions. Il lui est interdit de retourner à l'école où il enseignait, comme s'il était une menace nationale. Burke, enseignant d'histoire et d'allemand, a été mis en congé administratif en août 2022 pour avoir refusé de se plier à la tyrannie des pronoms. Il a continué à se rendre à l'école, défiant ainsi les diktats absurdes de ses supérieurs. Résultat : une peine de prison indéfinie.

Le déclin de la raison

Après 108 jours en prison, Burke a été libéré temporairement, seulement pour être réincarcéré en septembre 2023. Son crime ? Continuer à se présenter à son poste de travail, accumulant une amende quotidienne de 700 euros. On pourrait presque rire de l'absurdité de la situation si ce n'était pas tragiquement réel. Burke a affirmé que son emprisonnement et son licenciement étaient des actes d'injustice flagrante, une tentative de punir ses convictions religieuses.

Une école Captive du wokisme

L'école de l'hôpital de Wilson, où Burke enseignait, est une institution anglicane fondée en 1761. Elle accueille 400 élèves, principalement des internes. C'est dans ce sanctuaire éducatif que Burke a osé défendre ses principes, refusant d'utiliser le pronom neutre "iel" pour un élève en "transition de genre". La conséquence ? Un emprisonnement digne d'un roman dystopique.

L'empire du wokisme

L'idéologie woke et la doctrine queer ont engendré des législations et des procédures qui déséquilibrent dangereusement notre société. Elles favorisent un groupe prétendument opprimé en réprimant sévèrement ceux qui osent penser différemment. Burke, en refusant de céder à cette dictature linguistique, est devenu un symbole de la résistance contre l'absurdité.

L'amour de l'éducation

Lors de son arrestation, Burke a déclaré : "L'idéologie de genre est contraire à mes croyances chrétiennes, aux Écritures, à l'éthique de l'Église d'Irlande et de mon école. Je suis enseignant et je ne veux pas aller en prison. Je veux être dans ma salle de classe." Ses paroles résonnent comme un cri de désespoir dans un monde devenu fou. Il a décrit sa situation comme de la "folie" et a exprimé son amour pour l'école, critiquant la gravité des critères de suspension.

Un héros contre l'agressivité transgenre

Le cas de Burke illustre parfaitement l'agressivité de l'idéologie transgenre dans notre société. Certains le saluent comme un défenseur public de la liberté face à l'expansion croissante de cette idéologie toxique. Enoch Burke est devenu un martyr de la raison, un symbole de résistance contre la tyrannie du wokisme qui menace d'étouffer toute dissidence.

Enoch Burke n'est pas seulement un enseignant chrétien injustement emprisonné, il est le porte-drapeau de tous ceux qui refusent de se soumettre à la folie woke. Son histoire est un avertissement clair : si nous ne nous levons pas contre cette oppression, qui sait jusqu'où ira cette dictature de la pensée ?

Source : https://zenit.org/2024/07/10/victim-of-gender-ideology-400-days-in-prison-for-refusing-to-use-lgbt-pronouns/

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