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Enseigner la tromperie ? Quand le wokisme s'invite à l'école et détruit les liens familiaux

Dans une banlieue de Denver, le district scolaire de St. Vrain Valley a concocté une nouvelle potion toxique appelée « formulaire de Guidance sur l’Identité de Genre »...

« En tant que parents, notre priorité est le bien-être et la sécurité de nos enfants », déclare Lori Gimelshteyn, directrice exécutive du Réseau de Plaidoyer des Parents du Colorado. Une évidence, non ? Apparemment, pas pour tout le monde. Dans une banlieue de Denver, le district scolaire de St. Vrain Valley a concocté une nouvelle potion toxique appelée « formulaire de Guidance sur l’Identité de Genre », censée « soutenir » les élèves, mais qui semble surtout destinée à semer la zizanie et l'ignorance entre les parents et leurs enfants.

Le Daily Signal rapporte que ce Guide sur l'Identité de Genre, disponible sur le site web du district scolaire, pose des questions sidérantes telles que :

  • « Les parents/tuteurs de l’élève connaissent-ils l'identité de genre ? »
  • « Les parents/tuteurs soutiennent-ils l'identité de genre ? »
  • « Qui peut plaider ou soutenir l’élève si ce n’est pas les parents/tuteurs ? »
  • « Quels sont les méthodes/questions/défis de communication entre l’école et la maison ? »
  • « Qui sont les contacts adultes à l’école pour le soutien, les préoccupations, etc. ? »

Non contents de poser des questions aussi invasives, le document encourage même les enfants à cacher leur identité de genre à leurs parents, membres de la famille et amis. Bravo pour l'encouragement à la transparence et à l'honnêteté !

Enseigner la tromperie

Les districts scolaires devraient enseigner des sujets de base comme les mathématiques et l’histoire. Mais non, à St. Vrain Valley, on préfère enseigner la tromperie. Le formulaire incite les conseillers et administrateurs à utiliser les pronoms préférés de l’enfant, à enregistrer ces informations dans le système scolaire, et bien sûr, à permettre à l’enfant d’utiliser les toilettes et vestiaires correspondant à son « identité de genre » préférée. Les parents, eux, peuvent aller se faire voir.

Le membre du personnel de l’école qui remplit ce formulaire doit « indiquer le statut de l’enfant, qui sait actuellement à propos de la transition de cet enfant, si la transition est publique ou privée et qui d’autre a besoin de le savoir ». Oui, parce que bien sûr, la priorité est de s’assurer que les parents soient les derniers informés de la situation de leur propre enfant. Logique woke, quand tu nous tiens !

Partenariats inquiétants

Le site web de l’école publique annonce fièrement ses partenariats avec des organisations locales de défense LGBT, dont certaines, comme Rocky Mountain Equality, fournissent un soutien aux enfants dès l’âge de 11 ans. Et tout cela, bien entendu, sans autorisation parentale, voire sans leur connaissance. C'est le rêve de tout militant woke : endoctriner les jeunes esprits sans avoir à rendre des comptes aux parents.

Un monde Orwellien

Il est effrayant de penser que les parents peuvent ne pas savoir ce que leurs écoles prônent auprès de leurs élèves derrière des portes closes. Le système scolaire est en train de devenir une zone de non-droit où la parentalité et l’autorité familiale sont saccagées par des idéologues aveugles. Les écoles, au lieu d’éduquer, deviennent des champs de bataille pour l’agenda woke, reléguant les parents au rôle de spectateurs impuissants.

Source : https://dailycitizen.focusonthefamily.com/teaching-deception-school-district-adopts-gender-policy-keeps-parents-in-the-dark/

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