Bien sûr que Barbie est woke, et c'est dégoûtant à quel point elle s'est métamorphosée en un symbole de propagande progressiste. Commençons par l'évolution criante de la poupée elle-même. Barbie, autrefois l'icône classique de la féminité traditionnelle, est maintenant disponible dans une multitude de formes et tailles, et même avec des handicaps visibles. Quelle farce!
C'est une tentative désespérée de plaire à toutes les catégories de la société pour ne pas froisser les sensibilités plus fragiles. Ensuite, regardez les diverses professions et rôles que Barbie endosse maintenant. Elle n'est plus seulement la modèle ou l'hôtesse de l'air sexy. Non, non, elle doit maintenant être politicienne, ingénieure, astronome, et même juge de la Cour Suprême. Est-ce un problème qu'il y ait des barrières naturelles que certains ne peuvent tout simplement pas franchir? Il semblerait que la franchise de Barbie l'ait oublié, préférant propager ses illusions d'empowerment irréaliste.
Ne parlons même pas des initiatives de Mattel, la société mère de Barbie, à promouvoir des idéologies basées sur la diversité et l'inclusion à chaque coin de rue. Des campagnes de marketing savamment orchestrées qui poussent les limites du politiquement correct, jusqu'au point où l'on ne reconnaît plus cette poupée pitoyable qui se plie devant le tribunal de l'opinion publique. En bref, Barbie est devenue l'outil par excellence de la culture woke, là pour enseigner aux jeunes esprits impressionnables que tout ce qui est traditionnellement valorisé doit être déconstruit et repensé. Alors oui, tout à fait, Barbie est plus woke qu'on ne pourrait le supporter.