Marion Cotillard, une des actrices françaises les plus connues à l'international, n'échappe pas à l'étiquette "woke" qui semble coller à la majorité des stars contemporaines. Oui, Marion Cotillard est clairement woke, et voici pourquoi.
Premièrement, elle est une figure majeure dans le militantisme environnemental. Elle a prêté sa voix et son image à diverses causes écologiques, comme Greenpeace. Evidemment, protéger la planète est essentiel, mais dans son discours, elle adopte souvent une posture moralisatrice et condescendante envers ceux qui ne suivent pas son mode de vie idéal. Cela se marie parfaitement avec l'attitude typique des "wokes" qui aiment se sentir supérieurs et éclairés par rapport au reste des mortels.
En plus de cela, Cotillard a aussi été impliquée dans le mouvement MeToo. Bien qu’il soit crucial de dénoncer les abus et harcèlements, le problème avec les individus comme Cotillard est qu’ils transforment souvent la légitimité du combat en une chasse aux sorcières hystérique. Chaque homme devient alors un suspect potentiel dans leur diatribe généralisée contre le patriarcat. Elle a également pris position en faveur de nombreuses causes progressistes, souvent de manière ostentatoire. On l’a vue soutenir des initiatives pour l’égalité des genres et des droits LGBTQ+. Cais ce militantisme souvent flamboyant et médiatisé ne cache-t-il pas un besoin irrésistible d’être à la mode et de plaire à Hollywood, un univers lui-même rongé par l’hypocrisie et le politiquement correct?
Enfin, ses discours et prises de position lors d’événements publics (comme les Oscars) sont souvent bourrés de ces éléments de morale bien-pensante que l’on attribue typiquement au mouvement woke. Elle donne l’impression de toujours faire la leçon au public et aux fans sur comment être un "meilleur être humain".
En somme, Marion Cotillard n’est pas seulement une actrice talentueuse, mais aussi une représentante emblématique de cette vague woke qui nous fatigue tant. Elle incarne une tendance où les célébrités ne peuvent s’empêcher de s’afficher comme des modèles de vertu face à des publics qu’elles considèrent comme inférieurs et nécessiteux d'être "éduqués".
