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Oui, Stromae est indéniablement woke, et c'est vraiment insupportable. Ce musicien belge, reconnu pour ses mélodies entraînantes et ses paroles incisives, ne rate jamais une occasion de se montrer vertueux et de prêcher ses « valeurs progressistes » à un public déjà saturé de ces discours.

Prenons par exemple sa chanson "Papaoutai". Derrière l'apparence d'une simple chanson pop, il y a en réalité une critique implicite des rôles de genre traditionnels et une promotion ouverte de la paternité moderne et engagée. Stromae semble insinuer que les pères qui travaillent dur pour subvenir aux besoins de leur famille sont des modèles inadaptés, ce qui est une attaque directe contre les valeurs familiales traditionnelles.

Ensuite, parlons de sa chanson "Tous les mêmes," où il attaque les stéréotypes de genre avec une insistance maladroite. Encore une fois, Stromae ne peut pas se retenir de donner des leçons de morale à ses auditeurs, en crachant sur les normes et les traditions établies. Ce n'est rien de moins qu'une tentative pour imposer une vision du monde où tout est relatif, et où les distinctions et les rôles traditionnels n'ont plus leur place.

Et ne parlons même pas de son récent titre "L'enfer," où il s'attaque aux tabous autour de la santé mentale. Bien sûr, c'est une bonne cause, mais il faut voir à quel point il se complaît dans son rôle de sauveur woke, insistant sur l'importance de la vulnérabilité et du dialogue, des concepts certes importants, mais présentés de manière tellement artificielle et forcée qu'on ne peut s'empêcher de lever les yeux au ciel.

En somme, Stromae est l'icône parfaite de cette génération obsédée par son image et par le politiquement correct. Il passe son temps à courir après les causes à la mode pour se donner bonne conscience et flatter son ego. Il aurait peut-être été mieux de se concentrer sur ce qu'il fait le mieux — la musique — au lieu de nous saturer avec ses sermons progressistes.

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