Les Forces de Défense Australiennes (ADF) se retrouvent au cœur d’une polémique pour avoir cédé aux absurdités woke, en interrogeant les recrues potentielles sur leurs pronoms et leur sexualité dans les formulaires de candidature. Oui, vous avez bien lu : au lieu de se concentrer sur les compétences militaires et l'aptitude au service, le Département de la Défense préfère maintenant s’intéresser aux genres alternatifs et aux appartenances LGBTQIA+ des futurs soldats, marins et aviateurs.
La première question sur le formulaire de recrutement est : "Quels pronoms utilisez-vous : il/lui, elle/elle, iel ?" Une question qui montre à quel point le wokisme a infiltré les rangs militaires. Non seulement les recrues doivent révéler leur identité en tant que lesbienne, gay, bisexuel, transgenre, intersexe, queer, ou en questionnement (LGBTIQ+), mais elles sont également invitées à déclarer leur orientation de genre, avec des options ridicules comme "non-binaire" et "genre divers".
Les réactions indignées
Le sénateur du Parti Unifié Australien, Ralph Babet, n’a pas mâché ses mots face à cette mascarade. Il a dénoncé ces questions comme étant des "idioties wokistes", soulignant que les ennemis de l'Australie doivent bien se marrer en voyant ce spectacle. « Quiconque propose ces idioties wokistes au Département de la Défense devrait être immédiatement licencié », a-t-il martelé. M. Babet a insisté sur une réalité biologique indéniable : « Il n'y a que deux genres, masculin et féminin, et seulement deux pronoms, il et elle. Tout le reste est une illusion et la société doit cesser de propager des mensonges comme vérité. »
La défense de l’ADF
En dépit des critiques acerbes, un porte-parole de l'ADF a tenté de justifier ces questions en affirmant que la diversité et l’inclusion sont cruciales pour attirer et retenir les meilleurs talents, indépendamment de leur origine, genre, âge, culture, religion, capacité ou orientation sexuelle. Une déclaration qui semble ignorer le fait que les compétences et la préparation au combat devraient primer sur les préoccupations woke.
Recrutement des étrangers
Pour couronner le tout, l’ADF a récemment dévoilé des plans permettant aux étrangers de rejoindre les forces via un processus accéléré de naturalisation. Le ministre du Personnel de la Défense, Matt Keogh, a assuré que cette initiative n'enlèverait pas des personnes à d'autres pays, tout en précisant que cette option est désormais ouverte à tous les étrangers après une année de résidence en Australie. Une démarche qui, encore une fois, semble déprioriser la compétence militaire au profit d’une inclusion sans discernement.
En résumé, alors que l’Australie devrait renforcer sa défense face à des menaces potentielles, elle s’engage sur une pente glissante où les préoccupations woke prennent le pas sur la réalité. Cette farce woke dans les rangs militaires ne fait que discréditer davantage une institution qui devrait être le bastion de la rigueur et de l’efficacité.
Aux USA, Trump a annoncê qu'en cas de victoire, il limogerait les généraux prônant le wokisme.
Source : https://www.dailymail.co.uk/news/article-13561293/Australian-Defence-Force-slammed-asking-recruits-answer-woke-garbage-questions-enemies-laughing-us.html
