Le célèbre festival de Glastonbury vient de dévoiler une nouvelle scène woke célébrant l’immigration au Royaume-Uni, en proclamant que « nul humain n’est illégal ». Ah, l’hypocrisie ne connaît pas de limites.
Terminal 1 : le sommet du ridicule
Baptisée Terminal 1, cette zone grotesque a été construite avec des matériaux d’aéroport recyclés, notamment des sièges, des chariots pour les bagages et des panneaux. Des rumeurs prétendent que le mystérieux artiste graffiti Banksy a participé à cette farce, bien que cela n’ait pas été confirmé officiellement. Nommer cette zone Terminal 1 en référence à l’ancien terminal 1 de l’aéroport d’Heathrow, utilisé de 1968 à 2015, ne fait qu’ajouter à l’absurdité.
Le message woke : « Nul humain n’est illégal »
Le festival a annoncé cette addition via les réseaux sociaux avec un message proclamant « nul humain n’est illégal ». Ironiquement, pour entrer dans cette zone, les citoyens britanniques doivent répondre à une question du test de citoyenneté du gouvernement, critiqué pour ses exigences arbitraires. Apparemment, la logique n’a pas sa place à Glastonbury.
Les justifications d’Eavis : une tentative désespérée
Michael Eavis, fondateur du festival, a tenté de justifier cette initiative en prétendant qu’elle vise à aider le public à mieux comprendre les questions complexes liées à l’immigration. Il a exprimé son optimisme quant aux bénéfices de l’immigration, ajoutant que le festival démontre la convivialité possible avec ses voisins. Cette utopie ne convainc personne, surtout face à la réalité.
L’hypocrisie exposée
Cette nouvelle zone a été largement moquée sur les réseaux sociaux pour les contradictions flagrantes avec les mesures de sécurité draconiennes du festival, notamment les clôtures de 30 pieds de haut installées pour empêcher les intrus sans billet d’entrer. Prôner l’ouverture tout en érigeant des barrières aussi hautes, c’est le summum de l’hypocrisie.
Glastonbury : un concert de contradictions
Le festival, qui se déroule à Worthy Farm dans le Somerset, accueille environ 200 000 festivaliers. Parmi les têtes d’affiche, on retrouve des artistes renommés comme Dua Lipa, Coldplay, Sza et Shania Twain. Outre Terminal 1, le festival propose des discours, des projections de films, des prestations circassiennes, des sets de comédie et bien plus encore. Une mascarade d’activités pour masquer le vide de cette idéologie woke absurde.
En résumé, Glastonbury se transforme en une farce grotesque où le ridicule côtoie l’hypocrisie. La fête du woke est en pleine effervescence, et la réalité en est la première victime.
Source : https://www.dailymail.co.uk/news/article-13582589/Glastonbury-woke-new-stage-celebrating-immigration-UK.html
