L'université Harvard, toujours en quête de nouvelles façons de plier la réalité à son idéologie woke, a décidé de créer un cours pour l'automne 2024 intitulé "Genre à Byzance." Ce cours promet de transformer l'histoire médiévale en un conte woke absurde, explorant les "anges sans genre" et les "moines trans". Rien que ça !
Réécriture de l'Histoire : les folies du wokisme
Ce cours coûteux, proposé par une université dont les frais annuels s'élèvent à 60 000 dollars, prétend couvrir l'ensemble du spectre des conceptualisations binaires et non-binaires du genre à Byzance. Oui, vous avez bien lu. Une époque historique qui s'étend de 476 à 1400 après J.-C. sera analysée à travers le prisme délirant de la théorie du genre contemporaine. Le programme inclut des eunuques médiévaux et des hommes castrés, enseignés comme un possible "troisième genre," ainsi que des femmes qui ont dissimulé leur sexe pour rejoindre les monastères, redéfinies comme "transgenres."
Une idéologie forcée : l'aventure ridicule des anges et des eunuques
L'université prétend utiliser du "matériel textuel et visuel" pour enseigner cette version tordue de l'histoire. Les étudiants devront s'imprégner de concepts modernistes appliqués anachroniquement, incluant les "désirs et relations entre personnes de même sexe" et le "travestissement." On se demande jusqu'où ira cette folie.
La réaction du public : une contestation justifiée
La réaction ne s'est pas fait attendre. Nombreux sont ceux qui dénoncent cette initiative comme une tentative grotesque de promouvoir une programme politique woke en déformant l'histoire. "Il y a déjà assez de genres inventés, autant inventer aussi l'histoire," a ironisé un utilisateur sur les réseaux sociaux.
Une nouvelle offensive du wokisme
Harvard persiste dans sa quête de révisionnisme historique, embourbée dans ses guerres culturelles internes. Avec ce nouveau cours, l'université prouve une fois de plus qu'elle préfère l'idéologie à la réalité, plongeant toujours plus loin dans les abysses du wokisme.
Il est temps que les institutions académiques reviennent à la raison et cessent de céder aux pressions idéologiques qui déforment notre compréhension de l'histoire et de la culture.
Source : https://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-13628571/harvard-class-study-genderless-angels-trans-monks.html
