Autrefois symbole de l'excellence sportive, les Jeux Olympiques ont désormais cédé aux absurdités de l'idéologie woke. À Paris 2024, la parité hommes-femmes sera atteinte, marquant un tournant apparemment important dans l'histoire olympique. Le Comité International Olympique (CIO) a décidé de répartir équitablement son quota d'environ 10 500 athlètes entre hommes et femmes, pour satisfaire les idéologues du genre.
Une égalité de surface
Thomas Bach, président du CIO, a fièrement déclaré : "Nous sommes sur le point de célébrer l’un des moments les plus importants de l’histoire des femmes aux Jeux Olympiques." Quelle blague ! En réalité, cette décision n'est qu'une façade, une tentative désespérée de plaire aux militants woke qui ne jurent que par l'égalité de résultat, peu importe les compétences ou les performances réelles.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 comprendront 329 épreuves de médailles, dont 152 pour les femmes et 157 pour les hommes, avec 20 pour les équipes mixtes. Même dans cette parité de façade, les femmes auront moins d'opportunités de médailles. Quelle ironie ! De plus, des disciplines autrefois réservées aux hommes, comme le canoë sprint et le 1500 mètres nage libre, ont été ajoutées aux événements féminins, non pas pour des raisons de mérite sportif, mais pour satisfaire à une idéologie égalitariste.
L'égalité de genre : un mirage
Ce que l'on ne veut pas admettre, c'est que l'obsession pour l'égalité de genre dans les compétitions sportives dénature l'esprit même des Jeux Olympiques. La pression pour atteindre une parité parfaite conduit à des décisions arbitraires et à des ajustements artificiels qui n'ont rien à voir avec les compétences ou les performances. C'est une triste réalité que le CIO et ses partisans woke préfèrent ignorer.
Le sacrifice du sport sur l'autel du wokisme
En conclusion, les Jeux Olympiques de Paris 2024 sont moins une célébration de l'excellence sportive qu'une soumission totale à l'idéologie woke. Au lieu de récompenser le mérite et la performance, ces Jeux deviennent une plateforme pour des programmes politiques déguisés en égalité de genre.
Source : https://www.usatoday.com/story/sports/olympics/2024/07/02/paris-olympics-gender-parity-competitors/74284825007/
