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La folie Californienne : l'état empêche les parents de connaître les demandes de changement de genre de leurs enfants

Les parents, censés être les premiers protecteurs et guides de leurs enfants, seront désormais tenus dans l'ignorance totale de décisions aussi cruciales que celles concernant leur identité de genre.

La Californie nous offre un nouvel épisode de son délire woke avec une législation stupéfiante visant à interdire aux écoles de notifier les parents lorsque leurs enfants demandent à changer de genre. Les parents, censés être les premiers protecteurs et guides de leurs enfants, seront désormais tenus dans l'ignorance totale de décisions aussi cruciales que celles concernant leur identité de genre.

Le chaos a régné à la législature californienne lors du vote sur cette loi insensée. Si elle est signée par le gouverneur, cette loi annulera les politiques de notification parentale mises en place par plusieurs districts scolaires. Ces districts avaient eu la décence de penser que les parents devraient être informés si leurs enfants demandaient à changer de prénom, de pronom ou à utiliser les toilettes destinées au sexe opposé. Mais apparemment, cette transparence est désormais considérée comme une attaque contre les droits des enfants.

Le procureur général de Californie, Rob Bonta, a non seulement soutenu cette folie, mais a aussi intenté des poursuites contre les districts scolaires osant maintenir les parents informés. Le projet de loi AB 1955, introduit par le député Chris Ward, est un hymne à l'absurdité, interdisant toute notification parentale et prétendant étendre les ressources pour les étudiants LGBTQ+. Ward affirme que cette loi répond à une prétendue attaque nationale contre les personnes LGBTQ, en particulier les transgenres. Ironiquement, ce projet de loi devient une attaque directe contre les droits parentaux et la responsabilité des familles.

Lors du vote, le député Bill Essayli a eu le courage de s'opposer à cette aberration. Il a lu la politique de notification du district scolaire de Chino Valley, expliquant que les parents doivent être informés dans les trois jours si leur enfant demande un changement de nom ou de genre. Bien sûr, son micro a été coupé, car apparemment, la transparence et le bon sens sont hors de propos dans cette nouvelle ère de gouvernance.

Essayli a souligné que cette politique ne vise pas à espionner les enfants mais à informer les parents des changements importants concernant leurs enfants. Il a également rappelé que les enseignants et les directeurs ont l'obligation de protéger les enfants si la notification parentale présente un risque pour leur sécurité. Cependant, cette mesure raisonnable et responsable a été accueillie par des cris et des interruptions, illustrant à quel point le débat est devenu irrationnel.

Le gouverneur Gavin Newsom a déclaré qu'il examinerait le projet de loi, sans offrir d'autres commentaires. Cette réponse ambiguë laisse présager que l'avenir de cette législation demeure incertain.

Conclusion

Cette législation est une attaque directe contre les droits parentaux sous le prétexte de la protection des enfants. Elle représente une avancée inquiétante de l'idéologie woke qui cherche à miner l'autorité des parents et à transformer les écoles en laboratoires d'endoctrinement idéologique. Les parents de Californie et d'ailleurs doivent se lever contre cette folie et exiger que leurs droits soient respectés.

Source : https://www.thecentersquare.com/california/article_e201f946-34d4-11ef-80d6-e78c8fcd3496.html

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