Donald Trump, lors de la convention nationale républicaine, n'aurait pas pu choisir une chanson plus appropriée que "It’s a Man’s Man’s Man’s World" de James Brown pour illustrer une réalité que beaucoup cherchent à nier. Pendant que Trump embrasse cette vérité, une frange de la Génération Z semble vouloir tout détruire au nom de la justice sociale et du wokisme. Selon Melissa Deckman, qui se présente comme une experte en la matière, l'Amérique a un besoin criant d'une figure masculine forte. Et soyons clairs, Trump incarne cette force, une qualité qui attire de plus en plus de jeunes hommes de la Génération Z, lassés par une société qui veut les castrer symboliquement et les faire s’excuser d'être nés hommes.
Les femmes de la Génération Z : un nouveau bastion du wokisme
Les femmes de la Génération Z, en revanche, se révèlent être les soldats de première ligne dans cette guerre culturelle. Deckman, dans son livre sur la Génération Z, nous apprend que ces jeunes femmes sont devenues le groupe le plus progressiste de l'histoire des États-Unis. Qu’est-ce que cela signifie vraiment ? Elles se sont fait avaler tout cru par la propagande woke, croyant naïvement que leur engagement pour des causes "justes" va changer le monde. Pendant ce temps, elles abandonnent toute pensée critique et se laissent dicter leur conduite par une idéologie qui les monte contre les hommes.
La masculinité en crise ?
Les hommes de la Génération Z sont quant à eux accusés de devenir "plus conservateurs" et de "se désintéresser de la politique." Mais qui peut les blâmer ? Dans un monde où toute expression de masculinité est étiquetée toxique et où l'on glorifie l'indignation permanente, ces jeunes hommes ont tout intérêt à se détourner d'un système politique qui ne fait que les accabler. Alors que les femmes s'engouffrent dans le militantisme woke, les hommes commencent à se rendre compte que ce jeu est truqué contre eux et refusent d'y participer.
Kamala Harris : l'ultime manipulation woke
Et maintenant, nous avons Kamala Harris, qui se pose comme la championne de cette génération dévoyée. Les femmes de la Génération Z la voient comme un modèle, tandis que les hommes, avec raison, la voient comme une menace pour ce qui reste de bon sens aux USA. Cette élection est en train de devenir un concours pour savoir qui pourra se plier le plus aux exigences de la police de la pensée woke. Harris et ses partisans espèrent manipuler la colère des jeunes femmes pour s'assurer une victoire, mais à quel prix ?
L'échec inévitable du wokisme
Il est évident que la majorité silencieuse, composée de ces jeunes hommes désabusés, pourrait bien renverser la table. Les statistiques montrent que les hommes de la Génération Z se réveillent enfin et reconnaissent que les États-Unis sont devenus "trop doux et féminins". Si ces jeunes hommes se tournent vers Trump, ce n’est pas parce qu’ils sont conservateurs, mais parce qu’ils en ont assez d’être accusés de tous les maux du monde. Et si les hommes blancs de cette génération basculent du côté républicain, ce ne sera pas une surprise. Ils ont simplement pris conscience que cette société woke ne fait que les trahir.
Conclusion : les hommes reprennent les rênes
Les hommes de la Génération Z ne sont pas intéressés par la politique ? Peut-être, mais c’est parce qu’ils voient au-delà de cette farce. Ils réalisent que le véritable pouvoir ne réside pas dans les urnes, mais dans la capacité à se tenir debout face à la tyrannie woke. Pendant ce temps, les femmes de cette génération, aveuglées par une idéologie destructrice, continuent de se battre pour des causes qui, au final, les laisseront plus déconnectées que jamais. Le réveil sera douloureux, mais nécessaire.
Source : https://www.theguardian.com/us-news/ng-interactive/2024/aug/07/gen-z-voters-political-ideology-gender-gap