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La paranoïa raciale et sexiste s'immisce au sein des institutions judiciaires

Kimberly Cocroft, juge au comté de Franklin, Ohio, a déposé une plainte fédérale contre d'autres juges, alléguant un traitement discriminatoire en raison de sa race et de son sexe.

Kimberly Cocroft, juge dans l'Ohio, a déposé une plainte fédérale contre d'autres juges, alléguant un traitement discriminatoire en raison de sa race et de son sexe. Cocroft, l'une des rares juges noires en poste, a été élue par ses pairs pour superviser les politiques de la cour. Mais au lieu de se concentrer sur ses responsabilités, elle préfère se poser en victime et jouer la carte de la discrimination.

Selon Cocroft, deux juges blancs auraient fait des remarques sur son comportement, la décrivant comme « inapprochable » et « agressive ». Elle affirme qu'on lui aurait conseillé d'imiter d'autres figures noires respectées, ce qui, pour elle, est une insulte impardonnable. Sa réaction ? Une tirade sur le paternalisme et le privilège, accusant ses collègues de racisme latent sans se remettre en question un instant.

Une équipe exclusivement noire

En 2021, Cocroft a engagé du personnel exclusivement noir, affirmant avoir choisi les personnes les plus compétentes. Cependant, elle prétend que ces employés ont été traités différemment par rapport à ses équipes précédentes. Elle utilise ce prétexte pour crier à la discrimination, oubliant commodément que ses propres actions peuvent être perçues comme une forme de favoritisme racial.

Le chantage imaginaire

Cocroft allège qu'elle a été victime de chantage pour qu'elle démissionne de son poste de juge administratif. Selon elle, un juge lui aurait dit que la plainte déposée par l'administrateur de la cour disparaîtrait si elle démissionnait. Cocroft interprète cela comme une tentative de la faire taire, se drapant dans le rôle de la victime persécutée sans fournir de preuves tangibles.

Une quête dérisoire de réparations

Cocroft demande des excuses publiques et une enquête, arguant que les problèmes soulevés à son sujet n'ont pas été adressés de la même manière avec des juges blancs. Pour elle, il ne s'agit pas d'un simple conflit de personnalité, mais d'une conspiration raciste visant à ternir sa réputation professionnelle. En réalité, il s'agit surtout d'une tentative désespérée de détourner l'attention de ses propres manquements et de se positionner en martyre de la cause woke.

Les accusations de Kimberly Cocroft ne sont qu'un autre exemple de la manière dont les militants wokes manipulent les notions de racisme et de sexisme pour justifier leurs échecs et leur manque de compétence. Il est temps de remettre en question ces propos toxiques et de se concentrer sur les véritables compétences et mérites, plutôt que de se laisser entraîner dans une spirale de victimisation et de division.

Source : https://www.blackenterprise.com/ohio-judge-eeoc-complaint-racial-gender-discrimination/

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