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La "Pride House", un espace LGBT+ pour les JO de Paris 2024

Présentée comme une enclave dédiée à la communauté LGBT+, cette initiative prétend promouvoir l'acceptation et la diversité pendant l'événement sportif international.

Pour les Jeux Olympiques de Paris 2024, un nouveau "centre d’inclusivité", la "Pride House", a été inauguré. Présentée comme une enclave dédiée à la communauté LGBT+, cette initiative prétend promouvoir l'acceptation et la diversité pendant l'événement sportif international. En réalité, c'est un autre exemple flagrant de l’idéologie woke poussée à l’extrême, visant à imposer une vision unique de l’inclusivité.

L’éducation ou l’endoctrinement ?

Ce centre ne se contentera pas d’être un lieu de rencontre et de support, mais servira également de "plateforme éducative sur les enjeux LGBTQ+". En réalité, cela ressemble plus à un programme d'endoctrinement visant à faire accepter sans question les dogmes wokes, quitte à créer des frictions supplémentaires auprès de ceux qui ne partagent pas ces points de vue.

La scène de la Pride House accueillera chaque jour des athlètes de la communauté, et un grand écran diffusera en direct leurs épreuves. « On est extrêmement soulagé de voir le projet aboutir », s’est réjouie Hélène Germain, présidente de la fédération sportive LGBT+ qui pousse sans relâche pour une inclusion forcée des personnes LGBT+ dans le sport. Ce sera « un lieu sûr (…) permettant aux athlètes qui veulent s’exprimer sur ces sujets de trouver une plateforme idéale et un lieu dédié pour pouvoir le faire ». Paris 2024, dans son obsession pour la "diversité", insiste que la Pride House est ouverte à toutes celles et ceux qui croient en la nécessité d’un sport plus inclusif, en imposant encore une fois leur agenda woke à tout va.

Un symbole de division plus que d'unité

La présence d'une "Pride House" aux JO de Paris 2024 est un symbole supplémentaire du wokisme qui gangrène ces JO, si la cérémonie d'ouverture woke n'était pas suffisante. Mais au lieu de rassembler, elle risque de diviser encore plus une société déjà fragmentée sur les questions de genre et de sexualité. Ce n’est pas un signe de progrès, mais plutôt un symptôme d’une société qui cède à la tyrannie de la minorité au détriment du dialogue et de la compréhension mutuelle.

Source : https://www.leparisien.fr/jo-paris-2024/jo-paris-2024-ouverture-de-la-pride-house-une-fan-zone-pour-la-communaute-lgbt-30-07-2024-YCERCOY5WRBGLPRNKJWAEAR2KI.php

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