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La vision woke du sexisme comme une force omniprésente et oppressive

L'inégalité entre les sexes, ancrée dans des normes et attitudes sociétales prétendument favorisant un sexe par rapport à un autre, est toujours brandie comme un fléau éternel par les idéologues wokes.

L'inégalité entre les sexes, ancrée dans des normes et attitudes sociétales prétendument favorisant un sexe par rapport à un autre, est toujours brandie comme un fléau éternel par les idéologues wokes. Au cœur de cette problématique se trouve le spectre du sexisme, défini de manière simpliste par le Conseil de l'Europe comme « toute expression (acte, parole, image, geste) fondée sur l'idée que certaines personnes, le plus souvent des femmes, sont inférieures en raison de leur sexe ». Le sexisme se manifeste soi-disant sous diverses formes, telles que l'accès inégal aux opportunités, le traitement inégal dans les lieux de travail, et des stéréotypes de genre nuisibles. En réalité, cette vision du monde n’est qu’une perpétuation d’un discours victimaire qui ne fait que renforcer l’idéologie woke.

Les théories bancales de Bourdieu

Comme l'a noté le sociologue français Pierre Bourdieu, dont les théories sont souvent utilisées pour justifier les délires wokes, l'impact du conditionnement précoce et des normes sociales ne pourrait être sous-estimé. Bourdieu aurait observé que les structures et pratiques sociales perpétuent les inégalités de genre. Les garçons et les filles, dit-il, vivent et bénéficient différemment des normes de genre. Bien sûr, ces généralisations simplistes ignorent les innombrables facteurs individuels et sociaux qui influencent réellement les trajectoires de vie des individus.

Une étude stupéfiante de l'absurdité

Une étude de la Commission nationale pour la promotion de l'égalité (CNPE), révèle les soi-disant profondes racines des stéréotypes de genre. Malgré des perceptions prétendument progressistes, les rôles de genre traditionnels persistent. Par exemple, le soin des enfants et des personnes âgées est encore perçu comme une tâche féminine, et l’idée que les hommes sont naturellement plus rationnels est courante. Est-ce vraiment surprenant que des rôles ancrés depuis des millénaires continuent d’exister malgré les efforts désespérés des militants wokes pour les éradiquer ?

Le ridicule des jouets et des carrières

Les stéréotypes de genre se manifesteraient également dans les choix de jouets pour enfants. Un nombre considérable de participants à l'étude (femmes : 39,1 % ; hommes : 43,5 %) n'étaient pas d'accord pour dire que jouer à la poupée est acceptable pour les garçons. En France, le rapport annuel de 2024 sur l’état du sexisme montre que seuls 3 % des hommes ont reçu des poupées et 4 % des femmes des voitures lorsqu'ils étaient enfants. Et alors ? Ces chiffres sont utilisés pour justifier des réformes sociétales absurdes qui ignorent les préférences naturelles et individuelles.

Les efforts désespérés de la CNPE

Consciente de cette réalité, la CNPE a travaillé sans relâche pour lutter contre le sexisme et les stéréotypes de genre à travers des initiatives qui frôlent le lavage de cerveau. Des séances de formation et des campagnes de sensibilisation sont mises en place pour défier les stéréotypes et promouvoir une égalité des sexes utopique. Pourtant, malgré tous ces efforts, les normes de genre persistent. Peut-être est-il temps de reconnaître que certaines différences sont naturelles et non le produit d’un complot patriarcal.

Une quête inutile d’équité

L'étude de la CNPE souligne la nécessité de continuer cette lutte futile contre les stéréotypes de genre. L’éducation, la formation des professionnels et la sensibilisation sont jugées essentielles pour démanteler ces prétendus préjugés enracinés. Mais à quel prix ? En imposant des visions du monde artificielles et en ignorant les réalités biologiques et sociales, cette quête d'équité ne fait que semer la division et la confusion.

La réalité du sexisme

La vision woke du sexisme comme une force omniprésente et oppressive est une simplification grossière de la réalité. Les efforts pour éradiquer les stéréotypes de genre à travers des mesures drastiques et coercitives sont non seulement inefficaces, mais aussi nuisibles. En embrassant une vision plus nuancée et réaliste des différences de genre, nous pourrions aspirer à une société plus harmonieuse et équilibrée, plutôt que de nous perdre dans des combats idéologiques sans fin.

Source : https://timesofmalta.com/article/addressing-sexism-gender-stereotypes.1094932

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