Dimanche après-midi, les médias progressistes ont fondu en larmes après la nouvelle historique que le démocrate Joe Biden se retirait de la course présidentielle de 2024. Van Jones de CNN était visiblement ému, les larmes aux yeux, en parlant de la décision de Biden de céder la place à Kamala Harris. Pendant ce temps, sur MSNBC, Rachel Maddow a prononcé un discours enflammé expliquant que la décision de Biden de ne pas se représenter n'était pas ce qu'il voulait vraiment, mais ce qu'il a fait « pour le bien du pays ». Elle a déclaré : « Je ne vois nulle part dans sa personnalité que cette décision est possible aujourd'hui. C'est l'inverse de quelque chose de naturel ou facile pour lui. »
Larmes et pathétisme à la télévision
Les spectateurs ont été stupéfaits en voyant les larmes de Jones à la télévision. On dirait que pour les progressistes, le pathos et la dramatisation sont devenus le pain quotidien.
Le mois dernier, l'animatrice de MSNBC, Maddow, a déclaré qu'elle craignait que Trump ne la mette dans un camp d'internement en cas de réélection. Oui, vous avez bien lu, elle craint d'être enfermée comme dans un mauvais film de science-fiction. Dans une interview avec le journaliste principal des médias de CNN, Oliver Darcy, Maddow a été interrogée sur ses craintes d'être personnellement victime de l'administration Trump. Elle a répondu : « Je suis préoccupée par le pays en général si nous mettons au pouvoir quelqu'un qui déclare ouvertement qu'il prévoit de construire des camps pour retenir des millions de personnes. »
Biden, le martyr du progressisme
Le président Biden a annoncé dans une lettre à ses concitoyens américains que c'était le plus grand honneur de sa vie de servir en tant que président, tout en exprimant son soutien à la vice-présidente Kamala Harris. « Bien que j'avais l'intention de me représenter, je crois qu'il est dans le meilleur intérêt de mon parti et du pays que je me retire. » Son annonce est survenue quelques semaines après une performance désastreuse lors d'un débat présidentiel, soulevant des questions sur sa capacité à assumer un second mandat.
La tristesse des progressistes
Larmes, hystérie, et théories du complot, voilà ce qui semble résumer la réaction des médias progressistes face au retrait de Biden. Plutôt que de reconnaître la réalité et d'affronter les véritables problèmes, ils préfèrent se perdre dans des drames émotionnels et des prévisions apocalyptiques. On est en droit de se demander si cette réaction disproportionnée n'est pas le symptôme d'un mouvement woke qui a perdu tout sens des réalités et de la mesure.
Source : https://www.dailymail.co.uk/news/article-13656933/van-jones-rachel-maddow-react-joe-bidens-withdrawal-presidential-race.html
