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Le juge britannique maintient l'interdiction des bloqueurs de puberté pour les enfants souffrant de dysphorie de genre

Un juge de la Haute Cour du Royaume-Uni a eu la sagesse de maintenir l'interdiction d'urgence imposée par le gouvernement sur les bloqueurs de puberté pour traiter la dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents.

Un juge de la Haute Cour du Royaume-Uni a eu la sagesse de maintenir l'interdiction d'urgence imposée par le gouvernement sur les bloqueurs de puberté pour traiter la dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents. Cette décision suit la logique d'une interdiction permanente mise en place par le Service national de santé (NHS) au printemps dernier, grâce à la clairvoyance de la direction du Parti conservateur et de l'ancienne secrétaire à la Santé, Victoria Atkins. Enfin, une initiative sensée contre les folies de l'idéologie woke !

Des preuves insuffisantes et des risques ignorés

Le jugement s'est basé sur l'évaluation des preuves existantes réalisée par l'ancienne présidente du Collège royal de pédiatrie, Hilary Cass. Son rapport a révélé que le soutien aux bloqueurs de puberté repose sur des « petites études observationnelles non contrôlées », remplies de biais et de facteurs de confusion, avec des conclusions d'une « très faible certitude ». Il est effrayant de penser que tant de jeunes ont été exposés à ces traitements expérimentaux sans fondement scientifique solide.

La juge de la Haute Cour, Beverley Lang, a pris une décision lucide en concluant que les protocoles actuels reposaient sur des « preuves remarquablement faibles. » Il est rafraîchissant de voir une institution faire preuve de bon sens face à l'aveuglement idéologique.

La réponse du parti Travailliste : une tentative de sauvetage ?

Wes Streeting, le nouveau secrétaire à la Santé du Parti travailliste, a tenté de sauver la face en déclarant que « les soins de santé pour enfants doivent être guidés par des preuves. » Il a annoncé travailler avec NHS England pour améliorer les services d'identité de genre et mettre en place un essai clinique sur les bloqueurs de puberté.

Des bloqueurs pour des raisons médicales valides

Il est crucial de noter que, sous cette interdiction, les bloqueurs de puberté restent disponibles pour des conditions médicales légitimes, telles que la puberté précoce. Cela montre bien que l'interdiction vise spécifiquement l'usage hasardeux de ces traitements pour la dysphorie de genre, et non leur utilisation médicale appropriée.

Une victoire contre l'absurdité woke

Cette décision est une victoire contre l'absurdité et le danger des concepts wokes appliqués sans discernement. Il est temps de se réveiller et de protéger nos enfants des expérimentations idéologiques déguisées en soins de santé. La Haute Cour du Royaume-Uni a montré la voie, espérons que d'autres suivront cet exemple de bon sens et de rigueur.

Source : https://www.washingtonexaminer.com/policy/healthcare/3102612/uk-judge-upholds-ban-puberty-blockers-for-gender-dysphoria-children/

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