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Le triomphe du bon sens : une école se dresse contre l'endoctrinement woke

Trois des cinq enseignants quittent l'établissement en raison des changements, montrant ainsi leur véritable allégeance à l'idéologie woke plutôt qu'à l'éducation des enfants.

Plusieurs familles ont annoncé leur départ de l'école Montessori de Scotts Valley aux USA après que la direction a enfin eu le courage de restreindre les discussions sur l'identité de genre, la religion et les mouvements sociaux en classe. Trois des cinq enseignants quittent l'établissement en raison des changements, montrant ainsi leur véritable allégeance à l'idéologie woke plutôt qu'à l'éducation des enfants.

Une politique de neutralité salutaire

Au moins sept familles ont décidé de retirer leurs enfants de cette école après que les administrateurs ont supprimé plusieurs livres mentionnant l'identité de genre et mis en place une politique de "neutralité" qui limite ou interdit les discussions en classe sur des sujets sensibles comme la religion et la politique. En mars dernier, Madelynn Van Den Heuvel, responsable de l'école, a informé les familles par e-mail que certains sujets, y compris l'identité de genre, la religion et les mouvements sociaux/politiques, seraient exclus des discussions en classe. En avril, elle a envoyé un manuel révisé aux parents précisant cette politique de neutralité et a retiré certains livres des salles de classe. Bravo à elle pour avoir pris position contre la propagande woke.

L'insupportable réaction des partisans de l'endoctrinement

L'école privée, fondée par les grands-parents de Van Den Heuvel en 2003, compte environ 80 enfants, de la naissance à 6 ans, et emploie cinq enseignants principaux et onze assistants. La politique de Van Den Heuvel stipule que les croyances et valeurs de toutes les familles seront respectées et que l'école n'imposera aucune croyance particulière. Les adultes de l'école doivent rester neutres et fournir des informations factuelles uniquement si les élèves initient les conversations. La politique de l'école est divisée en trois sections : religion, identité de genre et mouvements sociaux/politiques. Elle impose par exemple l'utilisation de pronoms correspondant au sexe assigné à la naissance de l'enfant. Le manuel des parents autorise cependant l'utilisation de pronoms correspondant à la préférence des parents. Van Den Heuvel a décliné les demandes répétées de commentaires en déclarant qu'elle se devait de respecter la confidentialité des familles et de la communauté de l'école. Un acte de discrétion et de respect face à l'hystérie publique.

La panique des militants woke

Certains livres retirés comprennent "Being You: A First Conversation About Gender", "It Feels Good to Be Yourself: A Book About Gender Identity" et "Every Body: A First Conversation About Bodies". Van Den Heuvel considère l'identité de genre comme une croyance, alors que ceux qui s'opposent à sa position la perçoivent comme un fait. Voilà la différence entre la réalité et la fiction woke. Trois familles ont exprimé leur mécontentement, expliquant qu'elles retirent leurs enfants car Van Den Heuvel refuse de discuter de sa politique. Elles affirment être déçues de quitter une école où les enseignants sont formidables et ont développé de solides relations avec leurs enfants. En d'autres termes, elles préfèrent sacrifier l'éducation au profit de l'endoctrinement.

Tyler Evans, parent d'élève et ancien directeur médical, a notamment essayé de sensibiliser Van Den Heuvel en citant les positions de divers organismes sur l'identité de genre. Il estime que ce sujet est factuel et non une opinion, et appelle à des discussions ouvertes. Bien sûr, pour les militants woke, tout ce qui va contre leur idéologie est forcément erroné. Les partisans de Van Den Heuvel n'ont pas répondu aux demandes de commentaires, bien que certains aient exprimé leur soutien à sa position dans des e-mails. Kim Saxton, directrice d'une autre école Montessori, se dit étonnée par cette politique de neutralité et estime qu'elle va à l'encontre des valeurs de diversité et d'inclusion prônées par les éducateurs Montessori. Encore une fois, les mots à la mode utilisés pour justifier l'endoctrinement.

La défense de l'enfance

L'enseignante anonyme qui quitte l'école affirme qu'elle part en raison de son désaccord avec la politique de genre et qu'elle perdra 20 000 $ par an en acceptant un poste similaire localement. Joelle Mulligan, une mère d'élève, estime que les livres supprimés offraient une représentativité essentielle et qu'ils ne sont pas inappropriés pour les enfants, même jeunes. Enfin, Roxanne Tracy, une autre parent d'élève, critique la politique pour ne pas préparer les enfants à un monde diversifié et appelle à une éducation qui reflète la réalité. Elle regrette également le manque de dialogue de la part de Van Den Heuvel. En d'autres termes, elles regrettent la perte de leur plateforme d'endoctrinement.

Pour conclure, 'école Montessori de Scotts Valley a eu le courage de dire non à l'endoctrinement et de se recentrer sur l'éducation des enfants sans ingérence idéologique. Une véritable leçon de bon sens dans un monde de plus en plus dominé par l'absurdité woke.

Source : https://lookout.co/several-families-leaving-montessori-community-school-after-head-implements-neutral-school-policy/

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