Le gouvernement écossais a été conseillé d'arrêter formellement les bloqueurs de puberté jusqu'à ce que des recherches supplémentaires soient réalisées. Dans un geste qui relève presque du bon sens, les autorités écossaises envisagent enfin de prendre une pause et de réfléchir avant de mutiler les jeunes avec des traitements expérimentaux.
Le rapport Cass et le wokisme en panne
Le rapport Cass, publié en avril par la pédiatre Dr Hilary Cass, a appelé à ce que les soins de genre pour les jeunes respectent les normes des autres soins du NHS. Elle a mis en lumière le manque de justification médicale pour les traitements comme les bloqueurs de puberté. Mais évidemment, cette révélation a été politiquement controversée. Les militants pro-trans et leurs alliés woke ont crié à la désinformation, incapable d'accepter que leur idéologie puisse être remis en question par des faits.
La fronde woke contre la réalité
Les Verts écossais, membres du gouvernement écossais, ont vivement critiqué le rapport Cass dès sa publication. Jenni Minto, ministre de la Santé publique, a dû se plier aux pressions de ce camp idéologique, tout en admettant que les conclusions du rapport Cass seraient considérées attentivement en Écosse. La Sandyford Clinic de Glasgow, dans un rare élan de responsabilité, a décidé de restreindre les traitements hormonaux pour les nouveaux patients de 16 ou 17 ans. Mais bien sûr, cette décision a été attaquée par la charity Scottish Trans, toujours prompte à défendre l'indéfendable.
La fuite en avant du gouvernement Écossais
La publication de la réponse du gouvernement écossais le jour après les élections générales a été qualifiée de "lâche" par Meghan Gallacher, vice-chef des conservateurs écossais. Elle a critiqué cette tentative de dissimuler les vérités gênantes lorsque l'attention publique était détournée. Le gouvernement écossais semble préférer glisser ces décisions controversées sous le tapis plutôt que d'affronter la réalité.
Des enfants sacrifiés sur l'autel de l'idéologie
Le professeur Graham Ellis, Responsable médical adjoint, a déclaré que l'équipe avait examiné le rapport Cass sous un "angle clinique", en mettant en avant que tous les enfants devraient grandir "en sûreté, respectés et soutenus." Une belle déclaration, mais qui sonne creux face aux réalités des traitements hormonaux administrés à des mineurs. Il est temps de se poser la question : l'idéologie woke justifie-t-elle de jouer ainsi avec la santé des enfants?
Une réponse tardive mais nécessaire
En fin de compte, le gouvernement écossais semble enfin écouter la voix de la raison, mais cette décision arrive bien tard. Les militants woke et leurs alliés continueront de pousser leur vision sans se soucier des conséquences. Il est crucial que les autorités prennent une position ferme pour protéger les jeunes des dérives idéologiques qui mettent en péril leur santé et leur bien-être. Le bon sens doit prévaloir sur le dogmatisme woke.
Source : https://www.bbc.com/news/articles/cx02gkzz0z7o