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Les détenus transgenres poursuivent l'Idaho et demandent à l'État de payer pour les procédures de changement de sexe

Les détenus accusent l'État d'infliger une "punition cruelle et inhabituelle" en refusant de dépenser l'argent des contribuables pour leurs fantasmes de transition de genre.

Trois femmes transgenres incarcérés en Idaho ont décidé de porter plainte contre les responsables de l'État pour une raison des plus ridicules : l'interdiction de recevoir des procédures de changement de sexe financées par l'État. Désignés comme Jane Roe, Jane Poe et Jane Doe dans le procès, ces hommes biologiques accusent le gouverneur de l'Idaho, Brad Little, le procureur général Raúl Labrador et les responsables du Département des Corrections d'infliger une "punition cruelle et inhabituelle" en refusant de dépenser l'argent des contribuables pour leurs fantasmes de transition de genre.

Une loi justifiée, une réaction absurdement woke

La loi House Bill 668 de l'Idaho empêche ces détenus, ainsi que d'autres, de bénéficier de procédures de changement de sexe financées par l'État à partir de lundi. Ces plaignants affirment avoir reçu de tels traitements pendant des années et soutiennent que les responsables violent le huitième amendement en les privant de ces traitements. Roe prétend qu'il subira des dommages irréversibles à sa féminisation et un déséquilibre hormonal "extrême". Depuis 2015, il bénéficie d'une hormonothérapie pour traiter sa dysphorie de genre, payée par les contribuables, bien sûr.

Des plaintes pathétiques et un détournement de fonds publics

Poe exprime son inquiétude quant à l'impact de la loi sur son bien-être mental, citant une interruption de son traitement hormonal l'année dernière qui aurait conduit à une puberté masculine et à une augmentation de la dysphorie. Il prétend que cette interruption l'a rendu mentalement instable, déprimé et anxieux. Doe, quant à lui, affirme que l'hormonothérapie a diminué son anxiété et amélioré sa qualité de vie. Lorsqu'il a été arrêté, son traitement a cessé, entraînant une diminution de son tissu mammaire et la descente de ses testicules. Ces plaintes semblent plus relever d'un scénario de science-fiction que de la réalité.

Le gouverneur et le procureur général refusent de céder

Le gouverneur Little et le procureur général Labrador ont refusé de commenter publiquement cette affaire ridicule. Cependant, le gouverneur a déjà exprimé son opposition à l'utilisation de fonds publics pour les procédures de changement de sexe. Dans une lettre en mai au Département de la Santé et du Bien-être de l'État, il a déclaré : « Les contribuables qui travaillent dur ne devraient pas être obligés de payer pour une chirurgie de réassignation sexuelle d'un adulte. » Une position de bon sens face à une demande délirante.

Conclusion : le wokisme pousse le bouchon trop loin

Cette affaire illustre parfaitement l'absurdité de l'idéologie woke. Des détenus, incarcérées pour avoir enfreint la loi, osent demander que les contribuables paient pour leurs procédures de changement de sexe. C'est une parodie de justice et une insulte aux citoyens respectueux des lois qui travaillent dur pour gagner leur vie. Il est grand temps de mettre fin à cette folie et de revenir à des principes de bon sens et de responsabilité personnelle. Les prisons sont censées être des lieux de réhabilitation, pas des cliniques de chirurgie esthétique financées par l'État.

Source : https://thenationaldesk.com/news/americas-news-now/transgender-prisoners-sue-idaho-want-state-to-pay-for-gender-change-procedures-idaho-gov-brad-little-attorney-general-ral-labrador-and-idaho-department-of-corrections

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