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Les Jeux Olympiques autorisent des boxeurs bannis pour "non-conformité de genre" à concourir

Imane Khelif d'Algérie et Lin Yu-Ting de Taïwan, biologiquement masculins selon les Championnats du monde de boxe féminine de l'année dernière, ont reçu l'aval pour participer aux Jeux Olympiques.

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 sont - encore une fois - en plein cœur d'une polémique dévastatrice après avoir permis à deux boxeurs, disqualifiés pour non-conformité de genre, de concourir dans les épreuves féminines. Imane Khelif d'Algérie et Lin Yu-Ting de Taïwan, biologiquement masculins selon les Championnats du monde de boxe féminine de l'année dernière, ont reçu l'aval pour participer aux Jeux Olympiques. Cette décision scandaleuse du Comité International Olympique (CIO) suscite une indignation internationale.

La sécurité et l'équité en péril

Cette situation a déclenché une vague de protestations parmi les athlètes et les experts sportifs. Barry McGuigan, ancien champion du monde, a exprimé sa stupeur : « C’est choquant qu’ils aient pu en arriver là. Que se passe-t-il ? » Nancy Hogshead, nageuse américaine et médaillée d’or, a averti que « l’idéologie de genre mettra les femmes en danger de mort », soulignant que la puissance de frappe des hommes est environ 162 % plus élevée que celle des femmes. Les athlètes féminines s'inquiètent naturellement pour leur sécurité et l'équité de la compétition. Brianda Tamara, boxeuse mexicaine, a décrit son expérience traumatisante face à Khelif : « Ses coups m’ont fait très mal, je n’ai jamais ressenti cela en 13 ans de boxe, même lors de combats avec des hommes. »

Une absence de solutions claires

Sans clarification ou modification de la part du CIO concernant la participation d'athlètes avec des différences de développement sexuel (DSD) ou transgenres, la confusion et les préoccupations persistent. Il est crucial que les instances dirigeantes internationales garantissent des conditions équitables pour toutes les athlètes. L'absence de critères précis met en danger l’intégrité et la sécurité des compétitions sportives féminines.

En bref, les Jeux Olympiques de Paris 2024 sont devenus un théâtre d'expérimentation woke, où les idéologies absurdes priment sur la sécurité et l'équité. Le CIO doit revoir ses priorités et rétablir l'ordre dans le sport, au lieu de céder à la pression des militants. Les athlètes féminines méritent une compétition juste et sûre, pas un cirque politique.

Source : https://www.thetimes.com/sport/olympics/article/olympics-allows-female-boxers-banned-over-gender-eligibility-to-compete-bk70xqs36

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