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FAQ

Les micro-agressions existent-elles vraiment ?

Les « micro-agressions » sont présentées par les idéologues wokes comme de minuscules actions ou commentaires, souvent inconscients et apparemment innocents, qui discrimineraient ou marginaliseraient les groupes minoritaires. Mais soyons clairs : ce concept est une invention récente destinée à suramplifier des interactions banales et anodines dans le but de fomenter la division et manipuler les perceptions.

Origine et définition floue

Le terme a été popularisé par le psychiatre Chester M. Pierce dans les années 1970, mais il a pris son essor avec la culture woke dans les années 2010. Il est important de noter que la définition de ce terme est extraordinairement subjective. Ce qui peut sembler une remarque inoffensive pour une personne peut être interprété comme une « micro-agression » par une autre. Ce manque de clarté permet à n'importe quel acte ou parole d’être étiqueté comme offensant, encourageant une mentalité de victime à outrance.

La science derrière les micro-agressions

Aucune étude sérieuse et rigoureuse n’a réellement prouvé l’utilité ou la validité du concept de micro-agression. Les effets des micro-agressions sont souvent exagérés et fondés sur des perceptions plus que sur des perspectives objectives. D'ailleurs, le sentiment d’accentuation des micro-agressions peut en réalité être plus préjudiciable en renforçant des sentiments de vulnérabilité chez les minorités.

Manipulation et réseaux sociaux

L’idée des micro-agressions a explosé avec les réseaux sociaux, où chaque interaction est décortiquée par une armée de guerriers du clavier en quête de la moindre infraction. Sur ces plateformes, la moindre remarque est surinterprétée, et les utilisateurs sont incités à trouver des micro-agressions partout. Ce climat de suspicion constante ne fait qu’empoisonner notre société et créer des tensions inutiles.

Le délit de « micro-agression »

Un regard, une question, ou même exprimer une inquiétude peuvent maintenant être considérés comme des micro-agressions dans certaines universités et milieux de travail. Les directives floues et extrêmes de ces politiques ne font qu’alimenter une culture de la peur et de la censure dans laquelle chaque interaction humaine doit être scrutée et filtrée.

Conclusion

La notion de micro-agression est donc davantage une arme idéologique qu’une réalité psychologique démontrée. Elle sert essentiellement à imposer une vision du monde paranoïaque et à faire taire toute dissidence. Les adeptes de l'idéologie woke semblent plus intéressés par la création de récits victimaires que par la promotion d'un véritable dialogue ou la résolution des véritables problèmes de société. Derrière tout cela, il y a une stratégie de contrôle social en utilisant la peur et la culpabilité comme levier.

Bref, il est grand temps de remettre les pieds sur terre et de stopper cette avalanche de non-sens. Les micro-agressions, telles que décrites par les extrémistes wokes, ne sont qu'un symptôme d'une société obsédée par la recherche de nouvelles façons de se sentir offensé. Au lieu de cela, concentrons-nous sur les réels défis et injustices de notre temps, et laissons cette absurdité derrière nous.

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