Columbia a fait un grand pas vers l’absurde en offrant un nouveau cours intitulé "Égalité sociale en santé pour les LGBTQ+" dans le cadre de l'Institut de justice sociale. Ce cours, concocté par Derick D. Jones Jr., professeur adjoint au département des sciences et des mathématiques, s'est concentré sur les histoires des personnes de la communauté LGBTQ+. Apparemment, on peut maintenant obtenir des crédits universitaires pour étudier des concepts aussi farfelus.
Les absurdités d'un programme woke
Le cours a eu lieu pendant les cinq premières semaines du trimestre d'été et se termine cette semaine, coïncidant ironiquement avec la fin du mois des fiertés et le défilé de la fierté de la ville le dimanche 30 juin.
L'Institut de justice sociale, introduit pour la première fois en 2022, prétend rassembler un corps enseignant "diversifié" pour offrir des cours axés sur la justice sociale. Quelle noble cause ! Offrir aux étudiants l'opportunité d'étudier des sujets aussi vitaux que les "enjeux et l'identité queer" tout en se baladant dans la ville.
Subventions et sécurité financière
Tout étudiant inscrit à ce cours cet été et démontrant des besoins financiers en 2023-24 était éligible à une bourse couvrant jusqu'à la totalité des frais de scolarité du cours. Merveilleux ! En plus, chaque étudiant a reçu 25 dollars pour couvrir les dépenses de participation au festival de la fierté de Chicago, y compris l'entrée, le pass pour la journée et la nourriture pour la sortie de classe. Parce que, bien sûr, rien ne dit "justice sociale" comme de subventionner des sorties à des festivals.
Engagement et sécurité dans l'espace woke
Les 13 étudiants de la classe ont signé des accords communautaires au début du semestre pour garantir un "espace sûr" pour tous les étudiants. Juniper Czaja, double diplômée en cinéma et études environnementales, s'est inscrite à ce cours en raison de son intérêt pour l'histoire LGBTQ+. Elle a affirmé s'être rapprochée de ses pairs cet été plus que lors des semestres précédents. Probablement parce qu'il est plus facile de se rapprocher dans un cours où tout le monde pense la même chose.
Le rôle du professeur et de la communauté woke
Jones Jr. voulait que les étudiants voient qu'ils avaient une communauté parmi eux, car un tiers des étudiants de Columbia s'identifient comme faisant partie de la communauté LGBTQ+ (!), selon le collège. Il a décrit comment le cours contribue à la culture de Columbia consistant à "écrire la culture de votre vie, de votre époque". Le cours élimine les constructions sociales qui "oppressent" les individus et permet aux étudiants et aux intervenants d'être à l'aise avec leurs identités. Quelle belle manière de dire que tout ce qui pourrait remettre en question leur point de vue est soigneusement éliminé.
Intervenants et témoignages émouvants
La classe a accueilli des intervenants invités qui ont partagé leurs expériences en tant que personnes s'identifiant comme LGBTQ+, allant du corps professoral du collège à des auteurs de livres et des experts spirituels du monde entier. Jones Jr. a partagé son expérience de "traumatisme" avec l'église et a expliqué l'importance de fournir aux étudiants des ressources pour des églises "inclusives". Les plans de cours variaient en fonction de ce que Jones Jr. pensait être bénéfique pour les étudiants. Il a souligné que l'engagement des étudiants était vital pour le cours. Apparemment, il n'y avait que 13 étudiants, mais c'est sûrement mieux pour approfondir ces conversations "vitales".
Un cours woke pour les semestres à venir
Jones Jr. envisage de continuer à développer le cours et à le concentrer sur les expériences vécues, en particulier pour les étudiants. Il espère pouvoir offrir le cours à l'avenir pendant les semestres de printemps ou d'automne afin qu'il puisse être plus long et inclure plus d'étudiants. En attendant, les étudiants peuvent se féliciter d'avoir appris des concepts aussi "vitaux" que les expériences LGBTQ+ tout en profitant du festival de la fierté.
En résumé, Columbia continue de sombrer dans l'absurdité woke, offrant des cours qui n'ajoutent aucune valeur réelle à l'éducation mais satisfont les exigences du politiquement correct. Quelle perte de temps et de ressources pour un établissement qui pourrait faire bien mieux.
Source : https://columbiachronicle.com/columbias-first-lgbtq-social-health-equality-class-runs-this-summer-during-pride-month
