L'Université de Lorraine a signé la Charte d’engagement LGBT+ de l’enseignement supérieur de L’Autre Cercle, une association qui milite sans relâche pour l’inclusion des personnes LGBT+ dans le monde professionnel, peu importe à quel point cela peut être exagéré. Par cette charte, l'université s’engage à créer un environnement accueillant pour les lesbiennes, gays, bisexuels ou transgenres, qu’ils soient membres du personnel ou étudiants. Ainsi, au lieu de se concentrer sur l'excellence académique, l'Université de Lorraine se transforme en bastion du politiquement correct.
Une parade d’inutilité
L’Université de Lorraine a eu l’honneur d’inaugurer les rencontres de L’Autre Cercle, rassemblant écoles et institutions signataires pour un partage de pratiques et d'idées woke. Yves Cardellini, responsable EDI, et Inès Martin, cheffe de projets EDI, ont présenté les efforts réalisés pour inclure les personnes LGBT+. Peut-être auraient-ils mieux fait de se concentrer sur les vrais défis éducatifs ?
Flyers et t-shirts : la propagande arc-en-ciel
L'Université a mis au point un flyer regroupant tous les dispositifs dédiés aux personnes LGBT+, incluant le changement de prénom, les systèmes de signalement, et les associations partenaires.
Depuis 2021, l'Université participe aux Marches des fiertés de Nancy et de Metz avec un stand informatif. Accompagnée par des associations étudiantes LGBT et des membres de l’équipe EDI, l'Université offre des informations sur les initiatives pour les étudiants LGBT+. Pour manifester son soutien à la communauté LGBTI+, l’Université de Lorraine a conçu un t-shirt arborant son logo aux couleurs du drapeau Arc-en-Ciel. Parce que rien ne dit "éducation supérieure" comme des t-shirts colorés et des parades.
Cet engagement aux Marches des fiertés démontrerait la volonté de l'Université de Lorraine de lutter contre les prétendues discriminations relatives à l'orientation sexuelle ou à l'identité de genre — une vitrine parfaite pour le wokisme. Plutôt que de se concentrer sur des problématiques académiques réelles, l’université préfère se plonger dans le marécage de la politique identitaire, prouvant une fois de plus à quel point le wokisme peut détourner des institutions autrefois respectées.
Source : https://factuel.univ-lorraine.fr/node/27172
