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Médias Canadiens : quand la discrimination imaginaire prend le pas sur la réalité

Les professionnels 2ELGBTQIA+ des médias canadiens crient à la discrimination systémique, mais la réalité est bien différente. Les témoignages pleurnichards de harcèlement, de microagressions, de mégenrage, et d'abus sur le lieu de travail ne font qu'attiser l'hystérie woke.

Les professionnels "2ELGBTQIA+"" des médias canadiens crient à la discrimination systémique, mais la réalité est bien différente. Les témoignages pleurnichards de harcèlement, de microagressions, de mégenrage, et d'abus sur le lieu de travail démontrent l'hystérie woke. Apparemment, seulement 41 % des professionnels considèrent les industries canadiennes des médias comme "des environnements de travail sûrs pour les 2ELGBTQIA+". Ce chiffre est utilisé pour crier à l'injustice, mais il masque une réalité bien plus nuancée.

Les chiffres manipulés de l'oppression

Les personnes trans seraient les plus concernées par le manque de sécurité (19 %), derrière les lesbiennes (27 %) et les personnes à diversité de genre (30 %). Mais que signifie réellement ce "manque de sécurité" ? Il s'agit souvent de simples désaccords interprétés comme des attaques violentes. Les hommes gays (55 %) et même les hétérosexuels (50 %) trouvent ces espaces relativement sûrs. Cela révèle que les prétendues victimes surévaluent leurs propres perceptions d'oppression.

Une victimisation excessive

Les récits de harcèlement et de mégenrage répétée sont gonflés pour alimenter un sentiment de victimisation constante. Ceux qui se sentent « obligés de tenir bon » le font pour entretenir l'image de martyrs au sein d'une industrie qui leur est déjà largement ouverte. Les recherches supplémentaires sur les effets à long terme du stress d'être une minorité semblent n'être qu'un prétexte pour justifier des mesures toujours plus extrêmes.

L'invasion de l'idéologie woke

Ces résultats sont utilisés pour justifier des efforts à l'échelle de l'industrie pour combattre une "transphobie" et une "queerphobie" largement exagérées. L'idée de formations obligatoires à la lutte contre l'oppression n'est qu'une nouvelle tentative de lavage de cerveau idéologique. Les changements structurels réclamés ne sont qu'une façade pour imposer une idéologie woke à des industries déjà fatiguées par ces exigences déraisonnables.

La réalité dénaturée

Plutôt que de garantir le succès et le développement des professionnels "2ELGBTQIA+", cette hystérie woke ne fait que créer des tensions inutiles et des divisions artificielles. Les histoires plus précises et authentiques ne sont qu'un prétexte pour transformer les médias en instruments de propagande woke. Il est grand temps de remettre en question ces récits de victimisation et de recentrer les débats sur des bases factuelles et raisonnables.

Source : https://www.fugues.com/2024/07/22/la-transphobie-la-queerphobie-et-la-discrimination-fondee-sur-le-genre-restent-repandues-dans-toutes-les-industries/

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