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Mégenrage et "Deadnaming" : les nouveaux crimes capitaux

Encore une fois, les propagandistes wokes nous font la leçon. Cette fois, ils s'attaquent à la question du "mégenrage" sur le lieu de travail. Vous savez, l'idée ridicule selon laquelle appeler quelqu'un par son sexe biologique est maintenant considéré comme un crime odieux.

Encore une fois, les propagandistes wokes nous font la leçon. Cette fois, ils s'attaquent à la question du "mégenrage" sur le lieu de travail. Vous savez, l'idée ridicule selon laquelle appeler quelqu'un par son sexe biologique est maintenant considéré comme un crime odieux.

La litanie des plaintes transgenres

Selon une enquête réalisée en 2023 par KFF et le Washington Post, les adultes transgenres se plaignent d'avoir été soumis à des questions "inutiles" ou "intrusives" au travail (61 %), de se sentir "en danger" dans une salle de bains ou un vestiaire (50 %), et d'avoir été licenciés ou refusés pour un emploi ou une promotion (29 %). En d'autres termes, ils veulent un traitement spécial tout en prétendant que c'est nous qui devons nous adapter à leurs caprices.

Une autre enquête de 2023 menée par Redfield & Wilton Strategies révèle que 17 % des répondants mégenreraient ou "deadnameraient" intentionnellement une personne — c'est-à-dire attribueraient un genre, ou le prénom original avec lequel une personne ne s'identifie pas. Vous imaginez l'horreur ? Utiliser le prénom et le genre que quelqu'un avait à la naissance. Il semble que l'épidémie de sensibilité continue de croître à des niveaux pathétiques.

Les directives de la Commission pour l'Égalité des Opportunités d'Emploi

Les dernières directives de la Commission pour l'égalité des opportunités d'emploi stipulent que le mégenrage intentionnel et répété au travail constitue du harcèlement fondé sur l'identité de genre. En clair, il est désormais illégal de refuser de participer à cette mascarade. Le cas de Tyler Copeland, qui a travaillé pour le Département des corrections de Géorgie, illustre cette folie. Ressources humaines, superviseurs et collègues ont osé l'appeler "madame" après qu'il ait annoncé être transgenre. Le monde est à l'envers.

La loi Californienne et ses exigences irréelles

En Californie, le mégenrage intentionnel est également considéré comme du harcèlement illégal. Selon le Département des droits civiques de Californie, les employés ont le droit d'utiliser et d'être adressés par le nom et les pronoms qui correspondent à leur identité de genre ou expression de genre, même sans changement légal de nom ou de certificat de naissance, ni chirurgie de transition. Donc, chaque employeur doit maintenant naviguer dans ce labyrinthe juridique pour éviter de froisser les susceptibilités exacerbées.

L'impact sur les employeurs et la culture du travail

Le mégenrage cause "stress, anxiété et sentiments de stigmatisation" aux employés transgenres, nous dit-on. Alors, les employeurs doivent promouvoir une culture de respect et d'inclusion. Autrement dit, nous devons tous marcher sur des œufs pour ne pas blesser les sentiments des quelques-uns, au détriment du bon sens et de la réalité biologique.

Conclusion

Il est temps de reconnaître cette absurdité pour ce qu'elle est : une tentative désespérée d'imposer une idéologie radicale à la société. Les employeurs ne devraient pas être contraints de participer à cette farce. Il est crucial de maintenir un environnement de travail basé sur la réalité, le respect mutuel et le bon sens, et non sur des concepts déconnectés de la réalité biologique.

Source : https://sanjosespotlight.com/silver-taube-misgendering-a-transgender-person-in-the-workplace-is-stigmatizing-and-unlawful/

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