Les personnes transgenres, non-binaires et de genre divers, ces piliers de l'absurdité moderne, font face à des obstacles prétendument insurmontables pour accéder à la chirurgie et au système de santé en général, selon deux nouveaux articles de recherche publiés dans le Canadian Medical Association Journal (CMAJ). En effet, dans ce monde où la réalité biologique est jetée aux orties, les personnes s'identifiant comme transgenres, non-binaires et de genre divers clament subir de la discrimination, même dans les endroits où les lois protègent déjà leurs prétendus droits humains.
Des systèmes de santé prisonniers de l'idéologie
Les systèmes de santé, loin d’être épargnés par cette folie idéologique, poseraient également des barrières à ces individus. Ils seraient apparemment plus enclins à retarder l’obtention de soins médicaux par crainte de discrimination et autres raisons nébuleuses. Dans leurs articles, les auteurs s’évertuent à décrire les expériences tragiques de ces personnes en quête de chirurgie d’affirmation de genre, comme si ces revendications délirantes méritaient toute notre attention.
L'autodétermination de genre : un "droit médical" ?
Un article pseudo-scientifique ose même affirmer que l'autodétermination de genre est un droit médical. Il existe encore peu d'études canadiennes sur les expériences chirurgicales de ces populations, mais les auteurs ont vaillamment tenté de comprendre ces expériences dans leur quête désespérée de soins d'affirmation de genre. Les participants à ces études se sont plaints des obstacles à l'accès à ces soins, affectant également leurs expériences générales avec le système de santé.
Des obstacles "insurmontables" ou une réalité exagérée ?
« Le stress de négocier la bureaucratie préopératoire contrastait souvent fortement avec les sentiments positifs des participants lorsqu'ils décidaient de rechercher une chirurgie d'affirmation de genre », écrit Dr. Hilary MacCormick, anesthésiologiste au Département d'anesthésie féminine et obstétrique de l'IWK Health, avec ses co-auteurs. Les participants ont décrit la nécessité de se défendre eux-mêmes face à des professionnels de la santé, souvent présentés comme incompétents ou hostiles à leurs revendications extravagantes. Ces soi-disant barrières et cette marginalisation ajoutent un traumatisme supplémentaire dans une situation déjà stressante pour les patients ordinaires.
L'exigence injustifiée des ressources publiques
Les conclusions des études sur les expériences des personnes recherchant une vaginoplastie par inversion pénienne, financée par des fonds publics, étaient similaires. « Les systèmes de santé doivent améliorer l'accès à la chirurgie d'affirmation de genre, réduire les temps d'attente pour les soins en augmentant la capacité de chirurgie d'affirmation de genre, et améliorer les expériences de soins », écrit Dr. Gianni Lorello, scientifique à l'Institut de Recherche et d'Innovation du Collège des Femmes. On se demande jusqu’où ira cette débauche de ressources pour satisfaire des demandes de plus en plus farfelues.
Une éthique inversée
Dans un article lié aux sciences humaines, Florence Ashley soutient que l'autodétermination de genre est un droit médical et que les prestataires de soins de santé sont éthiquement tenus de respecter cela. On atteint ici des sommets d'absurdité où la charge de justifier les obstacles aux soins devrait incomber aux prestataires de soins de santé, et non à ceux cherchant des soins pour affirmer leur genre, aussi délirants soient-ils.
Quand l'idéologie écrase la raison
Dr. Kirsten Patrick, rédactrice en chef du CMAJ, commente que « recevoir des soins qui valident leur identité choisie est associé à une meilleure santé physique et mentale pour les patients transgenres et de genre divers ». L’idéologie a définitivement pris le pas sur la raison.
Source : https://medicalxpress.com/news/2024-07-barriers-transgender-gender-diverse-people.html