Une nouvelle absurdité née de l'idéologie woke a encore frappé. Une athlète transgenre, Nikki Hiltz, qui s'identifie comme non-binaire et utilise les pronoms « iel », s'est qualifiée pour l'équipe olympique des États-Unis, et par la même occasion pour les Jeux Olympiques de Paris, ce qui a déclenché une vague de controverses sur les réseaux sociaux. Hiltz a partagé son euphorie sur les réseaux sociaux, déclarant : « Me réveiller en tant qu'athlète olympique... je suis tellement reconnaissant, submergé par tout l'amour et le soutien. » Voilà le genre de discours dégoulinant de gratitude qui fait oublier les véritables questions sur l'équité dans le sport.
L'auto-célébration woke
En 2021, Hiltz a fièrement annoncé son « coming out » en tant que transgenre non-binaire à l'âge de 26 ans, ajoutant qu'elle se sent parfois comme une « reine puissante » et d'autres jours comme « un gars parmi les gars ». La fluidité de genre, une notion aussi floue que déroutante, est célébrée dans ces cercles comme une sorte de vertu ultime. La confusion est devenue une norme, et toute critique est immédiatement étiquetée comme de la transphobie.
Les réactions divisées
Peu de temps après l'annonce de la qualification de Hiltz, les réseaux sociaux se sont enflammés. Jennifer Sey, fondatrice de XX-XY Athletics, a souligné que la situation de Hiltz n'est pas comparable à celle de Lia Thomas, une nageuse transgenre qui a provoqué des controverses similaires. Sey a insisté sur le fait que Hiltz est une femme biologique et que sa qualification est légitime. Pourtant, d'autres voix sur les réseaux sociaux, comme l'utilisateur Isaac's Army, ont exprimé leur scepticisme : « Nikki Hiltz se dirige vers les Jeux Olympiques pour représenter les USA après avoir détruit les compétiteurs féminins... Pensez-vous que c'est juste ? »
Comme se le demande justement plusieurs utilisateurs sur X, notamment Riley Gaines, "Avez-vous déjà remarqué que lorsqu'un athlète transgenre est en fait un mec, il insiste toujours pour concourir contre les femmes ? Et lorsqu'un athlète transgenre est en fait une femme, elle concourt également contre les femmes. C'est presque comme s'ils comprenaient de manière innée les avantages et les limites de leur sexe respectif."
La confusion et la contestation
Les commentaires se multiplient, mettant en évidence l'absurdité et l'incohérence des règles concernant les athlètes transgenres. Amy Nixon a questionné sur X : « A-t-elle pu prendre de la testostérone dans le passé ? Quelles sont les règles ici ? » Ces questions soulèvent des préoccupations légitimes sur les athlètes transgenre et l'intégrité des compétitions sportives, que les militants woke préfèrent ignorer.
Le CIO et la capitulation face à l'idéologie
Le Comité International Olympique (CIO), pliant sous la pression woke, a récemment mis à jour ses politiques pour inclure les athlètes transgenres. Selon le CIO, « Ce cadre reconnaît à la fois la nécessité de garantir que tout le monde, quelle que soit son identité de genre ou ses variations sexuelles, puisse pratiquer le sport dans un environnement sûr, exempt de harcèlement. » En d'autres termes, peu importe l'impact sur l'équité sportive, tant que l'idéologie woke est satisfaite.
Une parodie olympique
Cette situation met en lumière l'absurdité croissante de l'idéologie woke et ses conséquences néfastes sur le sport. L'inclusion forcée, sans tenir compte de la biologie et de l'équité, dénature l'esprit même des compétitions sportives. Le sport, autrefois un domaine de mérite et de talent, devient une scène pour les absurdités de l'idéologie moderne. Il est grand temps de mettre fin à cette folie et de revenir à des principes de justice et d'égalité authentiques.
Source : https://www.newsweek.com/transgender-olympics-2024-paris-athlete-runner-1920301
