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Picasso relégué aux toilettes d'une exposition artistique réservée aux femmes après une plainte pour discrimination de genre

Une exposition artistique prétendument "réservée aux femmes" a décidé de cacher les œuvres de Pablo Picasso dans les toilettes des femmes suite à une plainte pour discrimination de genre...

Attention, amateurs d'art : la file d'attente pour les toilettes des dames va bientôt s'allonger ridiculement. Une exposition artistique prétendument "réservée aux femmes", intitulée "Ladies Lounge" et orchestrée par l'artiste Kirsha Kaechele au Museum of Old and New Art (MONA) en Tasmanie, a décidé de cacher les œuvres de Pablo Picasso dans les toilettes des femmes suite à une plainte pour discrimination de genre. Le musée avait 28 jours pour cesser de refuser l'entrée de l'exposition en fonction du genre. Évidemment, la version originale du "Ladies Lounge" a été fermée depuis.

Une décision de justice farfelue

Kaechele, pleine de créativité woke, a déclaré sur les réseaux sociaux : « Une nouvelle exposition au MONA. Juste pour les dames... (Nous n'avions jamais eu de toilettes pour femmes au MONA auparavant, elles étaient toutes unisexes. Mais alors le Ladies Lounge a dû fermer à cause d'un procès intenté par un homme. Et je ne savais tout simplement pas quoi faire de tous ces Picasso...) »
Bien sûr, dans une nouvelle approche "révolutionnaire", Kaechele – qui, soit dit en passant, est mariée au propriétaire milliardaire du MONA, David Walsh – a accroché deux peintures de Picasso dans des toilettes pour femmes, selon une vidéo postée sur les réseaux sociaux lundi.

L'art de la protestation ridicule

En pleine mode de protestation woke, Kaechele a partagé un carrousel Instagram incluant des photos d'un panneau devant l'exposition originale indiquant "Fermé pour réforme" et d'une femme portant un gant de velours vert faisant un doigt d'honneur. Elle a ensuite affirmé que le musée chercherait à reclasser et rouvrir « en tant qu'église / école / hébergement de glamping » en vertu de l'article 26 de la Loi anti-discrimination de Tasmanie, qui permet de refuser l'accès aux personnes en fonction du genre sous certaines circonstances.

Le théâtre woke en action

Une plainte formelle a été déposée contre le MONA après qu'un homme ait été refusé à l'entrée de l'exposition. Ce spectacle grotesque à 500 $ la visite, ouvert exclusivement aux femmes, accueillait ces dames avec des majordomes masculins, des œuvres d'art acclamées, des vins vieux de 400 ans et des "morceaux absurdes" préparés par le chef exécutif du musée, Vince Trim, le tout dans un "espace extraordinairement somptueux". Inspirée par l'arrière-grand-mère "scandaleuse mondaine" de Kaechele, l'exposition semble être un hommage ridicule aux soirées féminines d'antan.

Un moment de vérité tragique

Jason Lau, un visiteur de la Nouvelle-Galles du Sud, a eu l'audace de s'attendre à entrer après avoir payé un billet. S'étant fait refuser l'entrée, il a osé déclarer : « Toute personne normale s'attendrait à ce que, si vous achetez un billet, vous bénéficieriez de la fourniture de biens et de services conformément à la loi. » Quelle folie d'attendre une simple justice.

Pendant le procès, Kaechele n'a pas déçu avec son théâtre woke. Elle est arrivée au tribunal, soutenue par une vingtaine de femmes vêtues de tenues business casual bleu marine et de rouge à lèvres vif. Leur performance subreptice, assises en silence total, jambes croisées et têtes sur les poings, lorgnant par-dessus leurs lunettes, a ajouté une touche d'absurdité chorégraphiée tout au long de l'audience. À la fin, elles ont quitté l'audience avec une danse synchronisée sur "Simply Irresistible" de Robert Palmer.

L'appel de l'absurde

Kaechele a annoncé son intention de faire appel de la décision devant la Cour suprême, déclarant : « Je pense que ça vaut la peine d'exercer l'argument, non seulement pour le Ladies Lounge, mais pour le bien de l'art et de la loi. » Dans cette déclaration, l'artiste incarne parfaitement l'essence de l'absurdité woke : transformer la réalité en un théâtre de l'absurde, où la logique et le bon sens sont relégués aux toilettes.

Dans cette farce woke ultime, l'art et la raison sont défigurés, tout comme les célèbres œuvres de Picasso. Bienvenue dans le monde où l'idéologie règne, et où l'absurde devient la norme.

Source : https://nypost.com/2024/06/25/lifestyle/picasso-relegated-to-bathroom-of-women-only-art-exhibit-after-gender-discrimination-suit/

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