Les étudiants de l'Université de Princeton peuvent désormais gaspiller leur temps et leur argent dans un cours entier sur les pronoms de genre, explorant des sujets aussi absurdes que « pourquoi les pronoms non-binaires rendent certaines personnes si en colère ». Ce cours, intitulé « La Poétique et la Politique des Pronoms », promet d'immerger les étudiants dans les méandres insipides de la « théorie du genre ».
Un séminaire de l'absurdité
Le cours encourage les étudiants à se poser des questions existentielles telles que « Comment les pronoms régulent-ils notre relation au monde, les uns aux autres et au genre ? » et « Le 'il' singulier peut-il contourner les pièges de la langue genrée ? ». Une description risible qui montre à quel point l'obsession woke a contaminé l'académie. Cinq étudiants seulement sont inscrits, bien en dessous de la capacité de 25, ce qui en dit long sur l'intérêt pour cette farce académique.
Lectures et lavage de cerveau
Les étudiants liront des œuvres comme « La Nature des Pronoms » par Émile Benveniste et « Quel est votre pronom : au-delà de Il & Elle » par Dennis Baron, qui poussent l'absurdité à son paroxysme. Ils plongeront également dans « La Marque du Genre » par Monique Wittig, où elle prétend que le pronom 'je' peut subvertir l'hétérosexualité et « lesbienniser » tout ce qu'il touche. Vraiment, de quoi faire rouler les yeux de n'importe qui doté de bon sens.
Enseignant woke et propagandiste
Le cours sera dirigé par le Dr Daniel Hoffman-Schwartz, du Département de littérature de Princeton. Ce n'est pas sa première incursion dans le domaine de l'absurde académique. Il a également enseigné des cours comme « La Façon dont Nous Regardons Maintenant : 'La Télévision de Qualité', la Théorie Critique et la Culture Contemporaine » et « Marx au XXIe Siècle », où il pousse ses étudiants à réanimer les cadavres des idées marxistes.
Une université déconnectée
Ce cours ridicule n'est qu'un symptôme de la déconnexion totale de certaines institutions académiques avec la réalité. Alors que les problèmes concrets comme la dette étudiante et l'économie devraient être au centre des préoccupations, Princeton préfère s'engager dans des exercices de pensée stériles et ultra-wokes. Espérons que les étudiants et leurs parents commencent à se demander où va leur argent, et si ces cours sont vraiment à la hauteur de l'excellence que Princeton prétend représenter.
Source : https://www.campusreform.org/article/princeton-offers-course-gender-pronouns-make-people-so-angry/25886