Le vendredi 28 juin dernier, des collages pro-palestiniens, révélateurs de la folie woke qui gangrène notre société, ont été découverts à Saint-Denis. Le summum de l'indécence a été atteint avec un autocollant placardé sur une plaque commémorative de la Seconde Guerre mondiale en mémoire des Juifs déportés. "Pas une voix pour les complices du génocide, je vote pour une Palestine libre", proclamait-il sans vergogne.
Réaction théâtrale du maire de Saint-Denis
Le mardi 9 juillet, Mathieu Hanotin, maire socialiste de la commune, s'est empressé de réagir, exprimant sa "profonde indignation". "Je suis choqué et profondément indigné", a-t-il déclaré, en déplorant l’acte dans une ville qu’il qualifie de multiculturelle et engagée contre l’antisémitisme et le racisme. Il a également saisi le procureur de la République, brandissant l'article 225-17 du code pénal comme une épée de Damoclès, qui punit d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende la dégradation de monuments mémoriels.
La gravité de la profanation minimisée par l’hypocrisie politique
Hanotin a souligné la gravité inégalée de la profanation d’un mémorial par rapport à d’autres formes de vandalisme. Pourtant, cette condamnation ferme et théâtrale ne masque pas l’indulgence dont bénéficient souvent les activistes radicaux. Tandis que les responsables de cette attaque ignoble sont identifiés, la question demeure : jusqu’où irons-nous dans cette dérive woke qui piétine notre mémoire et nos valeurs au nom de causes dévoyées ?
Le double discours est flagrant : condamner avec force un acte tout en permettant la propagation d’une idéologie destructrice au sein même de nos institutions. Cette affaire souligne encore une fois le besoin urgent de revenir à une société où le respect de la mémoire et des valeurs communes prévaut sur les manœuvres idéologiques.
Source : https://www.valeursactuelles.com/faits-divers/le-maire-de-saint-denis-sindigne-apres-le-collage-dun-autocollant-pro-palestinien-sur-une-plaque-en-memoire-des-juifs-deportes