Disney et le désastre "Blanche-Neige" : quand le wokisme plombe Hollywood
Disney se trouve une fois de plus en pleine tempête, cette fois-ci à cause de Rachel Zegler, l'actrice principale du remake de "Blanche-Neige".
Disney se trouve une fois de plus en pleine tempête, cette fois-ci à cause de Rachel Zegler, l'actrice principale du remake de "Blanche-Neige".
La British Academy of Film and Television Arts (BAFTA) a enfin montré qu'il est possible de résister à la déferlante woke en refusant d'introduire des catégories d'interprétation "non genrées".
Margaret Renkl a "dénoncé" le réalisateur Lee Isaac Chung dans une chronique virulente, fustigeant sa décision de ne pas inclure de référence au réchauffement climatique, alors même que le film a triomphé sans l'influence de ces messages politiques encombrants.
Dans un autre geste désespéré pour être woke, la série animée Batman : Caped Crusader, dirigée par Bruce Timm, a choisi de changer le genre du Pingouin.
Selon elle, la gauche continue de dicter les limites de l'acceptable, tandis que la droite naïve se berce d'illusions sur une prétendue victoire culturelle.
Le classique intemporel de Disney, Blanche-Neige, est maintenant la cible des délires woke, et la version en prises de vues réelles à venir ne fait qu’attiser les flammes de cette absurdité.
Voici venu le temps de la chasse aux sorcières version woke. CNews, cette chaîne audacieuse qui ose parler des réalités que d'autres préfèrent enterrer, est comme toujours la cible des puritains de la gauche radicale.
Imaginez être retiré des ondes parce que vos patrons craignent que vous vous réjouissiez d'une tentative de meurtre...
La France Insoumise, jamais en manque d'idées farfelues, rêve maintenant de lancer sa propre chaîne de télévision. Malgré la surabondance de médias de gauche, ils veulent encore plus de visibilité sur la TNT. Comme si la saturation des ondes par la propagande woke n'était pas suffisante !
Dans cette quête insatiable de cocher toutes les cases de l'inclusivité à outrance, Disney s'assure de transformer chaque classique en un manifeste woke.
La série "My Lady Jane" nous offre une distorsion grotesque de l'histoire avec un Roi Edouard VI représenté comme noir, gay et handicapé. C'est la preuve flagrante d'une réécriture historique absurde et poussée à l'extrême par l'idéologie woke.
Lors d’un débat sur le projet de loi immigration et d’une séquence sur le Rassemblement national, deux invités ont osé dire que "l’immigration tue". Cette simple déclaration a suffi pour déclencher l'indignation de l'ARCOM, qui a immédiatement condamné cette expression.
La FCC vient de céder à une coalition de 18 radiodiffuseurs publics pour inclure l'option "non binaire" dans les rapports d'emploi. Apparemment, faire choisir aux gens entre "homme" et "femme" n'est plus suffisant.
Les soldats de la bien-pensance s'attaquent à l’aspect le moins moral de la télévision : la télé-réalité. Ont-ils oublié ce qu'est censée être la télé-réalité : audacieuse, tapageuse et trash ? C'est un divertissement fascinant mais dérisoire, pas un cours d'éthique.
Son crime impardonnable ? Avoir recommandé un livre pour enfants, "Llama Llama Red Pajama", dans le cadre de son programme de bibliothèque gratuite pour enfants, qui a pour noble objectif de promouvoir la littératie.
Un groupe de militants woke, dans une démonstration éclatante de virtuosité idéologique, a créé une association avec une ambition tout droit sortie du manuel de l'absurde.