La Californie a récemment plongé tête la première dans la folie woke avec l'adoption de la loi AB 1955. Elon Musk, célèbre pour ses positions tranchées et ses entreprises révolutionnaires, a réagi vivement et de manière appropriée à cette nouvelle atteinte à la responsabilité parentale.
Microsoft a récemment décidé de mettre fin à toute une équipe dédiée à la diversité, l'équité et l'inclusion (DEI). Un responsable de l'équipe a admis que « les programmes DEI ne sont plus critiques pour les affaires ou intelligents comme ils l'étaient en 2020 ».
Les statistiques révélatrices de ces derniers mois mettent en lumière la désillusion croissante face aux programmes de diversité, d'équité et d'inclusion (DEI).
Barclays se surpasse dans la course à l'absurdité woke avec sa dernière initiative : des sèche-mains à faible émission de bruit et des toilettes neutres en matière de genre. Pourquoi ? Pour être plus "inclusif" envers les travailleurs neurodivergents.
Parce qu'évidemment, c'est grâce à la diversité qu'on fabrique de meilleurs smartphones et pas, par exemple, grâce à l'innovation ou au génie technique.
Les fonds axés sur l'égalité des sexes sont censés offrir des rendements mirobolants. Les entreprises très cotées ont enregistré leur pire performance relative depuis 2011 l'année dernière.
Les grandes entreprises sont enfin confrontées à une rébellion longtemps attendue des actionnaires "anti-woke" qui refusent de voir leurs investissements dilapidés par des initiatives ESG.
Les fondatrices de CapitalT prétendent éclairer les défis du "sexisme" dans le capital-risque tout en proposant des "solutions innovantes" pour y faire face...
Les départements des ressources humaines des plus grandes entreprises britanniques se retrouvent sur la défensive, confrontés à une indignation croissante...
Les investisseurs tournent massivement le dos aux fonds ESG woke, une tendance révélatrice des limites de cette idéologie ridicule...
