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Toni Kroos dévoile la folie de la politique migratoire Allemande

L'ancien joueur de football Toni Kroos n’a pas mâché ses mots en critiquant les effets de l'immigration massive en Allemagne.

Invité du podcast Lanz & Precht de la chaîne ZDF après l’élimination de l’Allemagne contre l’Espagne lors de l’Euro 2024, Toni Kroos, ancien joueur de football, n’a pas mâché ses mots en critiquant les effets de l'immigration massive en Allemagne. Installé en Espagne depuis dix ans, le champion du monde 2014 a partagé des réflexions qui dérangent les bien-pensants.

L'Allemagne d'hier et d'aujourd'hui

Kroos a déclaré : « Je pense toujours que l’Allemagne est un très grand pays. Nous aimons vraiment être là-bas, mais ce n’est plus l’Allemagne qu’elle était il y a peut-être dix ans », soulignant une sensation grandissante d'insécurité. Ce constat, pourtant évident pour beaucoup, est traité comme une hérésie par les militants wokes qui refusent de voir la réalité en face.

L'utopie du "tout va bien"

« Que ce soit en 2006 ou aujourd'hui, beaucoup de gens ont été accueillis à bras ouverts. Je trouve cela remarquable et c'est une chose formidable. Mais cette idée a été mise en œuvre de manière trop incontrôlée et nous n’avons pas réussi à en tirer parti correctement », a ajouté Kroos. Une critique sensée qui remet en question la gestion chaotique de l’immigration, mais qui sera sans doute balayée d’un revers de main par ceux qui prônent l’ouverture sans limites.

La sélection des immigrés : un sujet tabou

Kroos a soulevé des préoccupations sur la capacité de l'Allemagne à distinguer les immigrés qui contribuent positivement à la société de ceux qui ne le font pas. « Il y a toujours un pourcentage, que ce soit parmi les Allemands ou les nouveaux arrivants, qui ne contribue pas positivement à la société. Si nous n'arrivons pas à faire cette distinction, cela devient une tâche difficile. » Un discours frappé de bon sens, mais considéré comme blasphématoire par l'idéologie woke.

L'insécurité : une réalité dérangeante

Kroos a illustré ses inquiétudes avec un exemple concret : « Si quelqu’un me demandait s’il vaut mieux laisser ma fille sortir à 23 heures en Espagne ou dans une grande ville allemande, je dirais en Espagne. Elle aurait probablement moins de soucis. Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de problèmes en Espagne, cependant. » Une observation qui en dit long sur la dégradation du sentiment de sécurité en Allemagne, mais qui sera immédiatement rejetée par les aveugles partisans de l’immigration sans contrôle.

Les tensions révélées

Les mots de Kroos illustrent un climat où les perceptions de sécurité et les effets de l'immigration sont des sujets de débat complexe. En se montrant critique vis-à-vis de la politique migratoire allemande, il met en lumière un sentiment partagé par une grande partie de la population, révélant les tensions sociétales autour de cette question. Mais dans le monde woke, toute remise en question de la politique migratoire est rapidement étiquetée comme xénophobe ou réactionnaire.

Les propos de Toni Kroos offrent un rare moment de lucidité dans un débat souvent étouffé par l’idéologie woke. La réalité de l’insécurité grandissante et des échecs de la politique migratoire doit être affrontée avec courage et honnêteté, au lieu de se cacher derrière des slogans vides et des utopies irréalistes.

Source : https://www.valeursactuelles.com/monde/lallemagne-nest-plus-le-pays-quil-etait-il-y-a-10-ans-le-footballeur-toni-kroos-y-critique-limmigration-incontrolee-et-veut-rester-en-espagne

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