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Un jeune condamné pour avoir porté un T-Shirt indiquant qu'il n'y a que deux genres

Liam Morrison, un collégien du Massachusetts, a simplement voulu porter un T-shirt avec l’inscription : « Il n’y a que deux genres. » Mais cette déclaration factuelle l’a conduit à être retiré de sa classe par le principal de l’école.

Liam Morrison, un collégien du Massachusetts, a simplement voulu porter un T-shirt avec l’inscription : « Il n’y a que deux genres. » Mais dans l’ère des absurdités wokes, cette déclaration factuelle l’a conduit à être retiré de sa classe par le principal de l’école de Middleboro et un conseiller scolaire. On lui a ordonné d’enlever son T-shirt ou de rentrer chez lui. Liam a courageusement porté son cas en justice contre la ville et les responsables scolaires, demandant une injonction préliminaire pour protéger son droit d'expression.

L'hypocrisie éhontée

Liam a argumenté que l'action de l'école violait son droit à la liberté d'expression en vertu du Premier Amendement, qualifiant cela de « discrimination de point de vue. » Bien sûr, l'école n'a eu aucun problème avec les discours promouvant les perspectives woke, montrant une hypocrisie flagrante et éhontée. Malgré une défaite au tribunal fédéral, Liam a fait appel à la Cour d'appel des États-Unis – seulement pour perdre à nouveau. Les tribunaux ont soutenu que le discours de Liam, bien que non perturbateur, interférait avec les « droits des autres. » En d'autres termes, dans ce monde fou, dire la vérité est maintenant une agression.

La farce juridique

Le tribunal fédéral du Massachusetts a déclaré que l'école de Liam était dans son droit de lui interdire de porter le T-shirt. Selon eux, le code vestimentaire de l'école visait à « protéger contre l'invasion des droits des autres élèves à un environnement éducatif sûr. » Quelle plaisanterie ! Le tribunal a ajouté que les élèves transgenres ont « le droit de fréquenter l'école sans être confrontés à des messages attaquant leur identité. »

La dictature de la fragilité

Le tribunal s'est basé sur le précédent de la Cour suprême, Tinker v. Des Moines (1969), qui stipule que les protections du Premier Amendement s'étendent aux élèves des écoles publiques. Mais cette fois, les autorités scolaires ont habilement manipulé le test de la « perturbation matérielle » pour censurer le discours de Liam. La cour a décrété que son T-shirt, bien que passif, pourrait « empoisonner l'atmosphère éducative. » En gros, ils ont cédé aux caprices des fragiles militants wokes, croyant aveuglément que cela pourrait perturber certains élèves.

Une jurisprudence flottante et opportuniste

La décision du tribunal est outrageusement complaisante. Ils ont permis aux caprices politiques ou culturels des administrateurs scolaires de dicter ce qui est approprié, changeant au gré du vent woke. La cour d'appel a ignoré le fait que ni la ville de Middleboro ni les responsables de l'école n'étaient au courant d'incidents antérieurs causés par le T-shirt de Liam. Pourtant, ils ont jugé qu'une prévision vague et spéculative des luttes émotionnelles potentielles de certains élèves était suffisante pour censurer son discours.

La défaite de la raison

La Cour suprême n'a jamais soutenu que des prévisions abstraites et des effets psychologiques constituent une base appropriée pour censurer le discours d'un élève. Pourtant, le tribunal a permis à ces « prévisions » non prouvées de l'emporter. Cette décision est un exemple flagrant de la déraison et de l’incohérence juridique qui sévissent aujourd'hui. Liam Morrison était l'unique voix de la raison à Middleboro, et il a été réduit au silence par un système judiciaire qui a abdiqué face aux exigences absurdes des militants wokes.

La tyrannie de l'orthodoxie woke

Au milieu d'une orthodoxie culturelle de plus en plus divisée, il semble qu'il n'y ait plus de place pour le débat ou le dialogue. Les vues politiquement impopulaires ou traditionnelles sur la nature immuable du sexe sont désormais traitées comme des hérésies. La décision de la cour d'appel dans le cas de Liam est une tragédie et un signe clair que la censure ne fonctionne que dans un sens. Les avocats de Liam, de l'Alliance Defending Freedom, envisagent un appel. Espérons qu'ils réussiront à faire triompher la raison sur la folie woke.

Source : https://www.dailysignal.com/2024/07/07/another-federal-court-rules-against-teens-only-2-genders-t-shirt/

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