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Un monde de folie : débaptiser les plantes « racistes »

Le 20ème congrès international de botanique se tiendra à Madrid du 21 au 27 juillet. On pourrait penser que cette réunion se concentrerait sur l’étude des plantes, mais non, il semble que les savants ont décidé de se livrer à une mascarade woke en prime.

Le 20ème congrès international de botanique se tiendra à Madrid du 21 au 27 juillet. On pourrait penser que cette réunion se concentrerait sur l’étude des plantes, mais non, il semble que les savants ont décidé de se livrer à une mascarade woke en prime. Parmi les points les plus marquants de ces rencontres préliminaires, une décision grotesque a été prise : débaptiser environ 200 plantes, algues et champignons parce que leurs noms scientifiques seraient… racistes.

Plantes racistes ? La nouvelle idiotie woke

Les botanistes, censés être des esprits sérieux, ont voté à 351 voix contre 205 pour renommer des espèces végétales. Pourquoi ? Parce que les noms contiennent l’adjectif « caffra », un terme utilisé pendant l’apartheid pour désigner les Noirs. Erythrina caffra deviendra donc Erythrina affra, et ainsi de suite. Deux chercheurs de l’université Nelson Mandela, en Afrique du Sud, ont proposé cette brillante idée : retirer un « c » pour rendre le nom moins offensant. Ce changement, ils prétendent, mettrait en valeur l’origine africaine des espèces. Fort bien, applaudissons ce grand moment de virtuosité linguistique.

Une farce de la politique identitaire

Cette entreprise ridicule ne s’arrêtera pas avant 2026, date à laquelle toutes les espèces « problématiques » auront été purgées de leur racisme présumé. Revenons à l’origine du mot « caffra », qui vient de « kafir » en arabe, signifiant « infidèle » ou « non-croyant ». Ce terme était utilisé par les esclavagistes arabo-musulmans pour désigner les Noirs capturés pour le commerce. Mais bien sûr, personne ne semble vouloir discuter de la responsabilité historique des Arabes dans la traite négrière. Non, l’objectif ici est de maximiser la culpabilité blanche et de se donner une tape dans le dos pour cette grande victoire du politiquement correct.

L’hypocrisie de la moralité woke

Pendant ce temps, le terme « cafrine », dérivé de « caffra », est toujours utilisé par les Français noirs ou métis, notamment à la Réunion, pour désigner une jolie fille. Mais personne ne semble s’en soucier. Le but est de s'assurer que les participants repartent de Madrid avec la conscience tranquille et un herbier politiquement correct.

Ainsi, la botanique devient le dernier champ de bataille de la folie woke. Quelle tristesse de voir une discipline scientifique se plier à des absurdités idéologiques au lieu de se concentrer sur la recherche véritable. Préparez-vous à une overdose de politiquement correct, servie avec une bonne dose de ridicule.

Source : https://www.theguardian.com/science/article/2024/jul/20/botanists-remove-racist-references-plants-scientific-names

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