Un présentateur de la BBC, enivré par la folie woke, a été vivement critiqué sur les réseaux sociaux après avoir appeler au meurtre de Donald Trump à la suite d'une décision de la Cour suprême des États-Unis. David Aaronovitch, qui anime l'émission "Briefing Room" sur BBC Radio 4, a ouvertement réclamé l'assassinat du 45e président "sur la base qu'il représente une menace pour la sécurité de l'Amérique". Un appel au meurtre, justifié par une menace imaginaire concoctée par l'esprit woke.
Une provocation outrageuse
En postant sur les réseaux sociaux, Aaronovitch a déclaré : "Si j'étais Biden, je me dépêcherais de faire assassiner Trump sur la base qu'il représente une menace pour la sécurité de l'Amérique" - déclenchant une vague d’indignation en ligne. En réponse, certains ont justement affirmé que le post de l'animateur équivalait à un "appel ouvert à la violence", tandis que d'autres suggéraient que "des gens ont eu des visites de la police pour bien moins que cela". Le post original d'Aaronovitch a été retiré, mais le mal était déjà fait.
Retournement de veste et insultes
Tandis que le contributeur de médias bien connus, Alex Armstrong, a fustigé le diffuseur en disant : "Vous reculez maintenant. Vos gestionnaires vous ont-ils contacté pour vous dire de le nier ?" Aaronovitch, pris la main dans le sac, a tenté de se défendre en retournant ses propos, suggérant que les réponses à ses commentaires constituaient une "attaque de l'extrême droite" de la part des "personnes les plus idiotes de ce site". Il a dit: "Il y a maintenant une attaque de l'extrême droite suggérant que mon tweet sur la décision de la Cour suprême sur l'immunité présidentielle est une incitation à la violence alors que c'est manifestement une satire. Donc je le supprime." Quel aplomb ! Voilà donc une "satire" qui appelle ouvertement au meurtre.
Décision de la Cour Suprême et immunité présidentielle
La décision historique de la Cour suprême a vu le 45e président - qui cherche à se faire réélire en novembre - obtenir l'immunité pour "actes officiels" ou actions "dans son autorité constitutionnelle conclusive". Mais de manière cruciale, Trump n'est pas à l'abri de poursuites pour "actes non officiels" - essentiellement, tout ce que l'ex-commandant en chef a fait en privé "hors fonctions", pour ainsi dire. Le juge en chef John Roberts, annonçant la décision qui avait été votée par une marge de six contre trois juges, a déclaré que "la nature du pouvoir présidentiel confère à un ancien président une immunité absolue contre les poursuites pénales" pour les actes officiels pris en tant que président.
En somme, cet épisode grotesque révèle une fois de plus l'hypocrisie et la dangerosité de l'idéologie woke, qui n'hésite pas à franchir les limites de la décence et de la légalité pour imposer sa vision délirante du monde. Il est grand temps de remettre en question ces dérives et de restaurer un minimum de bon sens et de respect dans le débat public.
Source : https://www.gbnews.com/politics/us/woke-bbc-presenter-donald-trump-murder-supreme-court
