Bradie Anderson, un adolescent transgenre de 14 ans, et sa mère Anne, sont en pleine hystérie concernant l'utilisation des toilettes au lycée dans le nord-est de l'Ohio. Anne craint que sa fille, qui est en réalité son fils, soit agressé s'il utilise les toilettes des garçons, malgré le fait qu'il n'ait jamais eu de problème auaparavant. Mais bien sûr, cette peur irrationnelle doit être amplifiée pour alimenter la machine de la victimisation woke.
La panique infondée
La Chambre des représentants de l'Ohio a récemment adopté un projet de loi interdisant aux personnes transgenres d'utiliser les toilettes correspondant à leur identité de genre. Anne affirme que ce projet de loi mettrait les enfants en danger, une déclaration typique des militants qui préfèrent le sensationnalisme à la raison. Si ce projet de loi est adopté, qui donc surveillera les toilettes ?
L'opposition médiatique et médicale
L'Association Médicale Américaine s'oppose bien sûr à ces politiques, comme il fallait s'y attendre. Mais cette opposition ne fait que renforcer l'idée que les institutions sont désormais prises en otage par une idéologie déconnectée des réalités. Ce projet de loi sur les toilettes n'est qu'un parmi tant d'autres projets de loi soi-disant "anti-LGBTQ+", visant à restreindre les soins d'affirmation de genre et à empêcher les athlètes transgenres de jouer dans des équipes sportives féminines. Des mesures sensées, diaboliquement dépeintes par les militants wokes.
La tragédie de la victimisation
Bradie aurait été expulsé de son école catholique pour être transgenre et serait harcelé dans son école publique. Ce harcèlement, bien que regrettable, est utilisé comme une arme pour justifier une guerre idéologique. Bradie, à 11 ans, déjà militant, témoigne lors de réunions et de manifestations. La narration d'Anne sur le harcèlement et les menaces physiques devient un outil pour manipuler l'opinion publique, plutôt que de chercher des solutions pragmatiques.
Les conséquences des lois sensées
Anne se plaint que toute cette législation "anti-transgenre" cause beaucoup d'anxiété à Bradie. Pourtant, il est raisonnable de vouloir protéger l'intégrité des espaces genrés et de s'assurer que les soins médicaux pour les jeunes sont bien fondés et non dictés par des tendances idéologiques. Bradie aime jouer au football mais se sent surveillé à cause des régulations sur les athlètes transgenres. Encore une fois, une précaution sensée devient, aux yeux des militants wokes, une forme de persécution.
Une refus de la réalité
Malgré la législation de l'Ohio, Bradie et Anne refusent de déménager, clamant qu'ils ne devraient pas avoir à le faire. Cette obstination est présentée comme une bravoure face à l'ignorance. En réalité, c'est un refus de reconnaître que des mesures de bon sens sont nécessaires pour préserver la cohérence et la sécurité dans les écoles et les communautés.
Cette histoire est un exemple typique de la façon dont les militants wokes manipulent les récits pour promouvoir une idéologie déconnectée des réalités pratiques et biologiques.
Source : https://ohiocapitaljournal.com/2024/07/08/shes-not-going-in-the-boys-bathroom-ohio-mom-speaks-out-against-trangender-bathroom-ban-bill/