Aller au contenu

Une chroniqueuse du New York Times réprimande les producteurs de "Twisters" pour ne pas avoir inclus une intrigue sur le changement climatique

Margaret Renkl a "dénoncé" le réalisateur Lee Isaac Chung dans une chronique virulente, fustigeant sa décision de ne pas inclure de référence au réchauffement climatique, alors même que le film a triomphé sans l'influence de ces messages politiques encombrants.

Un chroniqueur du New York Times s'attaque aux producteurs du blockbuster "Twisters" pour leur refus de s'incliner devant les idéologies du wokisme en omettant une intrigue sur le changement climatique. Margaret Renkl a "dénoncé" le réalisateur Lee Isaac Chung dans une chronique virulente, fustigeant sa décision de ne pas inclure de référence au réchauffement climatique, alors même que le film a triomphé sans l'influence de ces messages politiques encombrants.

Un film anti-woke qui récolte les fruits de son succès

"Twisters", la suite tant attendue du hit de 1996 "Twister", met en vedette Glen Powell et Daisy Edgar-Jones dans des rôles de chasseurs de tempêtes affrontant des conditions météorologiques extrêmes. Le film cartonne au box-office, crédité pour son approche rafraîchissante qui évite les prêches politiques et les messages biaisés.

L'indignation woke : une occultation de la réalité

Renkl, visionnant le film durant "la journée la plus chaude jamais enregistrée sur Terre", déplore que "Twisters" ait manqué une occasion d'aborder la crise climatique. Elle suggère que cette exclusion n'a rien à voir avec l'art ou la science, mais plutôt avec l'évitement des répercussions politiques. Renkl accuse les créateurs de "Twisters" de céder aux pressions de la droite, ignorant commodément que le public en a assez des sermons moralisateurs déguisés en divertissement.

Une critique absurde et déconnectée

Renkl critique la dissonance entre les tornades dramatiques du film et le silence sur les implications du changement climatique. Elle semble croire que la culture populaire devrait constamment faire la morale et prêcher des idéologies, oubliant que le cinéma est avant tout un moyen de divertissement, pas un outil de propagande.

En évoquant des politiciens niant le changement climatique et une Cour suprême "étouffant" les efforts pour aborder la question, Renkl expose une fois de plus l'obsession de l'idéologie woke.

Le réalisateur défend sa vision authentique

Lee Isaac Chung, réalisateur de "Twisters", a expliqué sa décision de ne pas inclure un message sur le changement climatique, soulignant que les films ne devraient pas être des plateformes de propagande. Il a déclaré à CNN : "Je voulais m'assurer que nous ne donnons jamais l'impression de mettre en avant un message... je pense que ça doit être un reflet du monde."

Cette polémique sur "Twisters" révèle à quel point le wokisme peut aller loin, cherchant à politiser chaque aspect de la culture populaire. Les critiques de Renkl montrent une déconnexion totale avec la réalité et les attentes du public, qui en ont assez des leçons de morale et des sermons politiques. Les films doivent rester un espace de divertissement et de réflexion authentique, loin des pressions idéologiques.

Source : https://www.dailymail.co.uk/news/article-13684817/New-York-Times-Twisters-climate-change-anti-woke-storyline.html

commentaires

Dernier