Aller au contenu

Une famille brisée par la transition de genre de leur enfant

À Genève, une famille est plongée dans une polémique insensée et délirante autour de la transition de genre de leur enfant de 16 ans.

À Genève, une famille est plongée dans une polémique insensée et délirante autour de la transition de genre de leur enfant de 16 ans, prénommé C. À seulement 13 ans, sans aucun signe préalable, leur fille déclare vouloir être reconnue comme un garçon, déclenchant un processus médical kafkaïen et profondément controversé.

Des doutes parentaux ignorés

Dès le début, les parents ont exprimé leurs doutes légitimes sur le diagnostic de dysphorie de genre. Mais les Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG), dans leur sagesse autoproclamée, ont rapidement insisté que leur enfant devait être traité comme un garçon. Plutôt que de prendre le temps d'une évaluation approfondie, ils semblent presser les parents vers une transition précipitée.

Les HUG affirment pourtant que leur protocole est strict, nécessitant des mois de suivi multidisciplinaire avant de poser un diagnostic définitif. Mais qu'en est-il réellement ?

Une approche psychologique rejetée

À l'automne 2021, une psychiatre privée a remis en question le diagnostic initial, proposant une approche psychologique et estimant que l'adolescente vivait dans des réalités multiples. C., découvrant cette opinion contraire à la transition, a refusé de continuer les séances avec elle. La Chambre de surveillance, bien sûr, a souligné l'importance d'un thérapeute "bienveillant" et aligné sur l'idéologie de la transition de genre, marginalisant toute perspective dissidente.

La tragédie éducative et judiciaire

Lorsque C. a demandé une transition sociale à l'école, ses parents ont logiquement refusé, craignant pour son bien-être. La psychologue de l'école, dans un élan de panique, a alerté les autorités d'un potentiel acte suicidaire, menant à l'hospitalisation de C. et son placement en foyer par le Tribunal de protection de l'adulte et de l'enfant (TPAE).

Des parents impuissants et accusés

Les parents, désespérés et impuissants, insistent sur leur amour et leur désir de protéger leur enfant d'un processus qu'ils jugent prématuré et dangereux. Ils dénoncent un véritable endoctrinement médical et social. Pendant ce temps, C. rapporte une pression constante de ses parents pour abandonner sa transition et préfère rester en foyer.

Une société dévoyée

Cette affaire met en lumière l'absurdité et la dangerosité des concepts wokes et de l'idéologie transgenre poussée à l'extrême. Une famille est déchirée, des parents accusés et impuissants, et un adolescent pris dans une tempête idéologique où la précipitation et l'endoctrinement remplacent le bon sens et la prudence.

Le tribunal doit encore trancher sur le fond de cette affaire, mais il est clair que l'influence des politiques wokes menace non seulement la stabilité des familles, mais aussi le bien-être des enfants, sacrifiés sur l'autel de la conformité idéologique.

Source : https://www.20min.ch/fr/story/geneve-jeune-trans-ils-denoncent-l-embrigadement-de-leur-enfant-103142565

commentaires

Dernier