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Une pétition qui va dans le bon sens : protéger nos enfants contre l'endoctrinement woke

Au Luxembourg, des milliers de personnes sensées se sont levées pour soutenir une revendication légitime et nécessaire demandant le retrait des interventions sur le genre dans les écoles.

Au Luxembourg, des milliers de personnes sensées se sont levées pour soutenir une revendication légitime et nécessaire. Le succès fulgurant de la pétition en ligne demandant le retrait des interventions sur le genre dans les écoles démontre clairement que les citoyens en ont assez des idéologies wokes qui s'immiscent dans l'éducation de nos enfants.

Un débat urgent et nécessaire

Faut-il imposer ces notions de genre et d'identité sexuelle aux écoliers et lycéens ? Une pétition publique, soutenue par des milliers de parents inquiets, assure que non. En seulement deux jours, la revendication a atteint le quorum nécessaire pour que les députés organisent un débat sur ce sujet crucial.

Le pétitionnaire, Helder Rui De Almeida Neves, a raison de souligner que l'intérêt supérieur de l'enfant est en jeu. Il est raisonnable de penser que l'introduction de ces idéologies, qui plus est à un âge précoce, perturbe le développement psychopédagogique des enfants. Neves estime, à juste titre, que les questions d'identité de genre ne devraient pas être abordées devant des jeunes de moins de 18 ans.

La réponse prévisible des activistes wokes

Didier Schneider, directeur du centre LGBTIQ+ au Luxembourg, CIGALE, tente de défendre l'indéfendable. Il argue que cette pétition témoigne d'une "grande méconnaissance" de leur travail. Pourtant, ce sont justement les interventions précoces et non sollicitées de ces activistes dans les écoles qui préoccupent tant les parents. Ces ateliers, prétendument destinés à la prévention contre la violence et la haine, servent surtout à promouvoir une idéologie controversée auprès des jeunes en pleine puberté.

La famille au centre des décisions éducatives

Le pétitionnaire a raison : les familles doivent avoir le droit de décider si leurs enfants doivent être exposés à ces thématiques. Chaque parent devrait pouvoir choisir, selon ses croyances et principes, d'autoriser ou non la participation de son enfant à ces interventions. C'est une question de respect et de liberté éducative.

Didier Schneider parle d'un "effet backlash" chaque fois que les droits d'une minorité sont renforcés. Ce qu'il appelle backlash est en réalité une réaction saine et nécessaire d'une société qui refuse de se laisser imposer des diktats idéologiques sans consultation ni consentement. Le fait que de plus en plus de gens se lèvent contre cette intrusion woke dans l'éducation de leurs enfants est un signe positif de résistance contre un endoctrinement déguisé en tolérance.

Une montée inquiétante du conservatisme ? Non, une réappropriation de nos valeurs

Les chiffres des actes homophobes et transphobes en France et en Allemagne sont souvent utilisés pour justifier une augmentation des interventions LGBTIQ+. Mais cela cache une vérité plus complexe : la société en a marre de voir ses valeurs traditionnelles piétinées et ses enfants manipulés. Il est temps de recentrer le débat sur le respect des opinions diverses et de cesser de considérer toute opposition comme de la haine.

La pétition au Luxembourg est un pas dans la bonne direction. Elle représente une volonté claire de protéger les enfants contre l'endoctrinement woke et de redonner aux familles le contrôle sur l'éducation de leurs enfants. C'est un signal fort envoyé aux politiciens et aux activistes : le bon sens doit prévaloir sur l'idéologie.

Source: https://www.lesfrontaliers.lu/societe/cette-petition-qui-veut-bannir-linformation-lgbt-de-lecole/

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